• La tortue luth, qui peut mesurer jusqu’à trois mètres de long et peser jusqu’à une tonne, est l’espèce de tortue marine la plus grande au monde.

     

    Un nid de tortue luth, en voie d’extinction, découvert

    C’est la troisième fois en Équateur que sont découverts sur la côte des nids de tortues luth. Cependant, en 2015 et 2017, les œufs n’avaient pas éclos.

     

    AFPLe ministère de l’Environnement équatorien a annoncé la découverte d’un nid de tortue luth, l’espèce de tortue marine la plus grande au monde et en voie d’extinction. Il a promis de tout faire pour que les œufs éclosent bien d’ici deux mois.

    Après avoir confirmé que les œufs découverts dans la province de Manabi (ouest) appartenaient à l’espèce Dermochelys coriacea, des gardes «ont mis en place un protocole de protection du nid», a rapporté le ministère. «Si nous parvenons à l’éclosion, cet événement sera considéré comme un événement historique, car cette espèce est très spéciale en raison de son état de vulnérabilité», a déclaré un responsable du ministère de l’Environnement, Paco Castro, cité dans un communiqué ministériel.

     

    En danger critique de disparition

    C’est la troisième fois en Équateur que sont découverts sur la côte des nids de tortues luth, qui peuvent mesurer jusqu’à trois mètres de long et peser jusqu’à une tonne. Cependant, en 2015 et 2017, les œufs n’avaient pas éclos.

    Cette fois, le ministère a promis de faire tout ce qui était en son pouvoir pour que le processus d’incubation soit bien mené à son terme. Il n’a pas précisé le nombre d’œufs découverts mais estimé qu’ils allaient éclore d’ici une soixantaine de jours.

    L’espèce Dermochelys coriacea vit dans les eaux tempérées tropicales, subtropicales et subarctiques des océans Atlantique, Pacifique et Indien. Elle est en danger critique de disparition dans le Pacifique Est. Pour s’occuper du nouveau site de nidification, des agents travaillent en coordination avec la Fondation Contamos Contigo Ecuador et la Convention interaméricaine pour la protection et la conservation des tortues marines (CIT).

     

    Un nid de tortue luth, en voie d’extinction, découvert


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  • Une tortue à écailles dorées a été découverte par le Service des forêts indien, trois mois seulement après avoir révélé un autre spécimen de ce type. La créature, entièrement jaune, est selon toute vraisemblance atteinte d’albinisme.  

    Une deuxième tortue jaune découverte en Inde

     

    Ph. Twitter

    En juillet dernier, une tortue jaune avait été capturée en Inde, plus précisément à Odisha, comme nous vous en parlions dans cet article. Ce reptile unique avait été confié aux agents forestiers locaux. L’un d’entre eux, Bhanoomitra Acharya, a souligné à quel point cette découverte était unique : « La tortue secourue a le corps et la carapace jaune, c’est vraiment rare. Je n’ai jamais vu une tortue pareille de toute ma vie ».

    De telles irrégularités chromatiques sont exceptionnelles dans la nature, et la découverte d’un nouveau spécimen à Bardhaman, toujours en Inde, fascine les observateurs. Même si les rapports sur ces découvertes soient maigres, les biologistes pensent que cette caractéristique est due à un manque de pigmentation corporelle, l’albinisme.

    L’albinisme en cause

    L’albinisme est un type de maladie génétique due à l’absence ou à une production réduite de mélanine, le pigment qui donne de la couleur à la peau, aux yeux et aux cheveux (ou à la fourrure, aux plumes ou aux écailles chez d’autres espèces). Des erpétologistes ont d’ailleurs expliqué qu’une tortue peut afficher une couleur rouge.

    Ce type de spécimen doit absolument être sauvé de son habitat naturel, car sa couleur fait de lui une cible facile pour tous les prédateurs de son environnement. Le mieux est donc de les déplacer vers des lieux plus sûrs, en captivité.

    Une deuxième tortue jaune découverte en Inde


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  • Terry qui semble faire un doigt d’honneur à l’objectif a été élu le cliché plus drôle aux Comedy Wildlife Photography Awards 2020.

     

    La tortue malpolie remporte la palme

    Meilleure photo 2020

    Terry la tortue faisant un doigt d'honneur.

    © Mark Fitzpatrick / Comedy Wildlife Photography Awards 2020

    En septembre, le concours de photographie animalière «Comedy Wildlife» dévoilait ses finalistes. Les jeux sont faits, le grand vainqueur est Mark Fitzpatrick pour le cliché de sa tortue Terry, semblant faire un doigt d’honneur. «J’espère que Terry aura fait rire les gens en cette année si difficile pour beaucoup, a déclaré l’heureux gagnant. J’espère aussi que ce cliché aura fait passer un message pour la préservation de la faune, Puisse cette image encourager les gens à prendre un moment pour songer à combien notre incroyable faune dépend de nous et de ce que nous pouvons faire pour elle. Et j’espère que ce prix aura mis Terry dans de meilleures dispositions lorsque je la croiserai à Lady Elliot Island, en Australie». 

    parMichel Pralong 

    La tortue malpolie remporte la palme


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  • Les "chelonoidis chathamensis" sont menacées d'extinction, selon l'Union internationale pour la conservation de la nature.

    Equateur : 36 tortues des Galapagos réintroduites dans leur milieu naturel

    Equateur : 36 tortues des Galapagos réintroduites dans leur milieu naturel

     

    Equateur : 36 tortues des Galapagos réintroduites dans leur milieu naturel

    Equateur : 36 tortues des Galapagos réintroduites dans leur milieu naturel

    Equateur : 36 tortues des Galapagos réintroduites dans leur milieu naturel

    Des employés du parc national des Galápagos (Equateur) déploient des tortues géantes dans l'archipel, le 29 septembre 2020. (PARQUE NACIONAL GALAPAGOS/AFP)

    Un groupe de 36 tortues géantes des Galapagos, nées et élevées en captivité, ont été réintroduites dans leur habitat d'origine sur l'île San Cristobal, une des principales de l'archipel équatorien. Ces 36 chelonoidis chathamensis, une des quinze sous-espèces endémiques différentes de tortues des Galapagos, ont été déposées dans la partie nord-est de l'île, où vit une population estimée de quelque 6 700 tortues, selon un communiqué le Parc national des Galapagos mardi 29 septembre. Cette espèce de tortue est considérée comme menacée d'extinction par l'Union internationale pour la conservation de la nature.

    Les tortues, âgées d'entre six et huit ans, et pesant entre 3 et 5 kg, "sont passées au travers d'un processus de quarantaine précédant leur libération". Leur température a été prise ainsi que leur rythme cardiaque, des analyses de sang et de selles ont été faites afin d'exclure toute maladie ou parasite avant la réintroduction. Ces huit dernières années, un total de 75 tortues chelonoidis chathamensis élevées en captivité ont été réintroduites sur l'île San Cristobal. Les Galapagos, à 1 000 km au large de la côte équatorienne, ont l'un des écosystèmes les plus fragiles, avec une faune et une flore uniques au monde.


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  • Mon amie Violette m'a envoyé de belles photos la semaine dernière, elle est allée se promener au port de Rouen:

     

    Une tortue géante en photo au terminal Rubis sur le port de Rouen

    Une tortue géante en photo au terminal Rubis sur le port de Rouen

    Une tortue géante en photo au terminal Rubis sur le port de Rouen 

    Merci chère Violette! Voici le lien vers l'article correspondant: ICI

     

    PEAK OIL

    GEERT GOIRIS

    En 2018, un wallpaper monumental est installé sur l’un des bac de stockage de Rubis Terminal Rouen, à partir d’une photographie de la série Peak Oil de l’artiste belge Geert Goiris.
    La tortue sulcata représentée est un emblème de longévité et de stabilité, et peut être considérée comme un véritable fossile vivant dont l’origine remonte à la préhistoire. Elle fait ainsi écho, selon l’artiste, aux hydrocarbures dont la société est dépendante. En transférant cette tortue sulcata aux gigantesques réservoirs de Rubis Terminal Rouen, Geert Goris établit une analogie entre l’animal et l’activité pétrolière liée à ce territoire industriel.

    Initiée par le Frac Normandie Rouen et Rubis Mécénat, Peak Oil est le titre donné à une commande photographique de grande envergure faite à l’artiste belge Geert Goiris. Celui-ci s’est rendu tout au long de l’année 2017 sur 12 sites industriels de Rubis Terminal (filiale du groupe Rubis), couvrant l’ensemble des dépôts en Europe, afin de développer une série photographique sur le thème du paysage industriel contemporain. Ce projet a déjà donné lieu en décembre dernier à une grande exposition au Frac, à une installation dans le Port de Rouen et à la publication d’une édition.

    Œuvre visible depuis le 10 septembre 2018

     

    Rubis Terminal Rouen
    Dépôt Centrale
    76 120 Grand-Quevilly


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