• Cherbourg. La tortue, nouvelle ambassadrice de la Cité de la mer

    La tortue caouanne est arrivée il y a quelques jours à Cherbourg.© Ouest-France

     

    La Cité de la mer veut mettre en avant les richesses, trop méconnues, de cette région maritime à travers une nouvelle exposition : "Normandie… L’océan commence ici". Elle accueille dans le même temps une tortue caouanne qui arrive du Marineland d’Antibes. Elle est destinée à rester.

    "Quand on parle de l’océan, les gens pensent que c’est à des milliers de kilomètres. Alors qu’il commence ici." Mettre en avant les richesses océaniques de la Normandie, c’était bien là l’objectif de Bernard Cauvin, président-directeur général de la Cité de la mer à Cherbourg, et de toute son équipe. Avant la fermeture du pavillon des expositions permanentes en octobre, pour six mois de grands travaux autour des aquariums, ils ont ainsi eu la volonté de présenter une nouvelle exposition temporaire : "Normandie… L’océan commence ici".

    On y apprend notamment sur une grande fresque que des requins de plus de dix mètres, dont le pèlerin, fréquentent la mer de la Manche, que la plus grande colonie d’Europe de dauphins est ici, qu’il existe 571 grands dauphins installés dans la Manche.

    Cherbourg. La tortue, nouvelle ambassadrice de la Cité de la mer 

    Bernard Cauvin, président directeur général de la Cité de la mer, à côté des nouveaux bassins tactiles. | Ouest-France

    La grande attraction, c’est surtout l’arrivée d’un nouveau résident, une tortue caouanne de six ans, qui a pris ses quartiers à Cherbourg il y a quelques jours. Elle est arrivée du Marineland d’Antibes. "C’est un rêve depuis longtemps. Un vecteur de pédagogie et émotionnel incroyable", se réjouit Bernard Cauvin. Elle est destinée à rester. "C’est plutôt rare de pouvoir accueillir une tortue, qui plus est née en captivité, note Laurent Fouré, adjoint au responsable biologie. C’est une très bonne ambassadrice pour la Cité de la mer pour faire de la pédagogie."

    Donovan GOUGEON   Ouest-France                  

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  • Depuis très très longtemps je collectionne les tortues en tous genres: objets:

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    Je collectionne également les cartes postales de Stenvall: ICI

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    et tout sur George Sand !

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  • Une intoxication alimentaire a coûté la vie à huit bambins, la semaine dernière dans le nord de l'île

    Huit enfants mangent une tortue marine, ils meurent

    (Photo: AFP/Archives/Photo d'illustration)

    Huit enfants sont morts la semaine dernière dans le nord de Madagascar d'une intoxication alimentaire provoquée par la consommation de viande de tortue de mer, un animal protégé, a-t-on appris mardi auprès des autorités sanitaires.

    «27 personnes ont été victimes d'intoxication alimentaire, dont huit sont décédées les 8 et 9 janvier après avoir mangé une tortue de mer», a indiqué à l'AFP le représentant local du ministère de la Santé, Borohany Saïd.

     
     

    Les huit victimes sont des enfants, a pour sa part indiqué un porte-parole de la gendarmerie, le commandant Herilalatiana Andrianarisaona.

    La consommation de tortues marines et de 24 autres espèces de poissons est formellement déconseillée par les autorités sanitaires de la Grande île pendant la saison chaude. Ces espèces se nourrissent d'algues qui, de novembre à mars, sont toxiques pour ceux qui en mangent la chair.

    En décembre, huit personnes étaient déjà mortes d'intoxication alimentaire dans la même province malgache d'Antsiranana après avoir mangé de la sardinelle.

    (nxp/afp)

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    Les images les plus émouvantes de ces derniers jours.

    Photo: Dukas

    Une scène impressionnante: un phoque remarque une tortue en détresse - elle vient de se libérer d’un filet. Pour la calmer, il s’approche d’elle et la serre avec ses nageoires. Cette scène émouvante a été capturée par le photographe Beat Korner, 62 ans, alors qu’il plongeait au large de la plage d’Olowalu Beach à Hawaï, aux États-Unis. Il explique: «Tout s’est passé dans le plus grand calme, sans aucun signe de hâte ou de détresse.» Le couple inhabituel a passé une vingtaine de minutes ensemble, jusqu’à ce que leurs chemins se séparent de nouveau. 


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  • Les déchets qui jonchent les plages sont responsables de la mort de nombreux reptiles à carapace qui les ingèrent.

     

    Le triste sort de tortues assaillies par le plastique

    Le triste sort de tortues assaillies par le plastique 

    Sur cette photo, une tortue victime de la pollution de plastique. Plusieurs d'entre elles le sont aussi en mangeant des items en plastique qu'elles confondent avec de la nourriture.

    PHOTO STEFAN LEIJON, ARCHIVES FLICK'R

      

    Délicatement, l'équipe de soigneurs ramène Kenzo la tortue de mer sur la plage de Watamu, au sud-est du Kenya, jonchée de bouchons, pots de yaourt et tongs usagées. Enfin débarrassé de son harnais, l'animal pousse dur sur ses pattes et gagne les vagues mouchetées de ces déchets qui menacent tant de ses congénères.

    Dans un mouvement parfait, Kenzo disparaît dans les profondeurs de l'océan Indien. Cas rare de fin heureuse pour ces tortues kényanes directement menacées par notre surconsommation de plastique.

     

    Plusieurs dizaines d'entre elles réclament chaque année une prise en charge urgente sur cette côte idyllique de Watamu où s'accumulent des plastiques venus parfois de très loin, d'Indonésie, de Madagascar ou du Yémen, comme en témoignent les étiquettes sur les détritus.

    Les plus courants sont les bouchons, mais il y a aussi les briquets, brosses à dents, emballages alimentaires, bouteilles, et bien sûr les sacs. Que les tortues confondent avec des méduses ou autres sources de nourriture.

    «Elles finissent par imploser»

    «Cela provoque une occlusion... mais elles ont toujours faim, alors elles continuent de manger. Ca s'accumule, ça s'accumule, et elles finissent par imploser,» explique Casper van de Geer, directeur du Local Ocean Conservation, qui prend en charge les tortues de Watamu.

    «Ou bien elles souffrent tellement qu'elles sentent qu'elles doivent cesser de manger. Alors elles meurent de faim,» explique-t-il, tout en ramassant des déchets sur la plage. Beaucoup de tortues sont ainsi retrouvées flottant, tout juste en vie, si remplies de plastique qu'elles ne parviennent plus à plonger. A ce stade, très peu peuvent être sauvées.

    A la «clinique» des tortues, l'équipe de Casper van de Geer leur administre des laxatifs. «Cela prend un certain temps, mais à la fin, après beaucoup de souffrance... je veux dire, c'est un reptile, qui ne peut exprimer sa souffrance sur son visage, mais vous pouvez voir qu'il ferme ses yeux et qu'il est entièrement tendu, et soudain pouf , tout sort», décrit-il. «Mais parfois elles n'y arrivent pas. Et souvent l'animal meurt.»

    9,1 milliards de tonnes

    La pollution des océans par les plastiques est à l'agenda de l'Assemblée des Nations unies pour l'environnement, qui s'ouvre lundi à Nairobi. Selon le Fonds mondial pour la nature (WWF), 8,8 millions de tonnes de plastique rejoignent les mers chaque année. Or un sac plastique met des centaines d'années à disparaître, et des plastiques plus durs peuvent prendre des millénaires.

    D'après une étude américaine, plus de 9,1 milliards de tonnes de plastique ont jusqu'ici été produites dans le monde, la plupart finissant en décharge ou dans l'océan. Avant l'ouverture de l'Assemblée lundi, le chef de l'agence de l'ONU pour l'environnement (PNUE), Erik Solheim, a appelé à une action urgente pour que les océans ne se transforment pas en «soupe de plastique». Au rythme actuel, «d'ici 2050 il y aura plus de plastique dans les mers que de poisson», a-t-il prévenu.

    A Watamu, les habitants font ce qu'ils peuvent. Mohamed Iddi, un pêcheur de 42 ans, assure ramasser chaque jour sur la plage deux à trois gros sacs poubelle remplis de plastiques. «Certains sont amenés par la mer, d'autres par les gens venus pique-niquer sur la plage,» dit-il. «Parfois j'en trouve dans l'estomac» des poissons.

    «Regeneration Africa»

    En ville, un programme baptisé «Regeneration Africa» recycle le plastique collecté par les bénévoles comme Mohamed Iddi, et le transforme en dalles et autres objets. Au centre de soins des tortues, Kahindi Changawa regarde en souriant Kai, une tortue convalescente.

    Kai est arrivée un mois plus tôt, émaciée et incapable de se maintenir sous l'eau. En plus des laxatifs, on lui a administré des médicaments anti-bactériens et anti-parasites, ainsi que des vitamines destinées à lui rendre l'appétit. Depuis six jours, ses selles ne montrent plus de trace de plastique, explique M. Changawa, visiblement soulagé.

    «Elle a pleinement récupéré. Quand vous la sortez, elle s'agite, elle se bat. C'est un cas heureux. Nous espérons la relâcher dans les prochains jours», dit-il. Une chance que bien d'autres n'auront pas.

    (nxp/afp)

     

    Kenya

    08 décembre 2017 08:47; Act: 08.12.2017 09:15

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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