•  C'est lundi que lisez-vous?

    Ce que j'ai lu la semaine dernière :                C'est lundi que lisez-vous?

     

    Ce que je lirai cette semaine :               C'est lundi que lisez-vous?                               


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  • Je viens de terminer ce livre, trois romans:

     

    Le pré aux corbeaux

     

    Le pré aux corbeaux-résumé:

    À la lecture du testament, Pierre et Lionel n'en reviennent pas. Fred, leur père, ce satané « seigneur de Beaupré » qui a toujours régné en tyran sur sa famille et sur ses terres, a réussi à conserver la mainmise sur son domaine par-delà la mort ! 

     

    Terre de sang-résumé:

    Ce jour d'été 1966, à la ferme de la Commanderie, Jeanne fait la lessive au lavoir. La chaleur est étouffante, l'orage proche. Soudain son frère Pierre surgit du champ du Breuil et lui annonce qu'il vient de trouver son mari, Emile, raide mort, une plaie à la tête. Sans doute, alors qu'il plantait des piquets, la masse s'est-elle détachée du manche et l'a assommé...
    Peut-être, mais, quoi qu'il en soit, il faut que le médecin et les gendarmes viennent établir le constat nécessaire au permis d'inhumer. A la stupéfaction de tous, Louis, le brigadier, accompagné de Jules son subordonné, déclare qu'il s'agit d'un assassinat !
    Commence alors une enquête menée au rythme de la terre dans la touffeur de l'été et le huis-clos de la ferme. Qui est l'assassin? Clémence, la mère? Jeanne, l'épouse? Pierre, le frère? Ou quelqu'un d'autre, comme Fred, l'ermite habitant sur les terres depuis plusieurs années?
    Serait-il possible que Cécile, la fille de Jeanne, adolescente autiste, ait vu le coupable et connaisse la vérité sans pouvoir la dire? 

     

    De l'autre côté de la rivière-résumé:

    L'Asvins est une rivière aux étranges légendes, qui sépare deux villages de Bourgogne, Neuville et Bulcy. En ce début des années soixante, le nouveau médecin de Neuville, Robert Leroy, enquête sur les haines anciennes qui opposent les villageois. Avec lui, Adèle et Laurent Judas, du café de Bulcy, Étienne Montsauche, le gamin révolté, ou Madeleine, la fille adoptive du curé de Neuville, se trouvent happés par la tourmente. Les uns franchiront alors l'Asvins avec bonheur, d'autres n'oseront pas et verront leur vie bouleversée. Comme si passer de l'autre côté de la rivière changeait leur destin... 

    Le pré aux corbeaux

     

    Biographie

    Nationalité : France
    Né à : Paris , le 19/12/1949

    Jacques Mazeau né le 19 décembre 1949 à Paris est très vite orphelin de père et mère. Il apprend les rudiments essentiels de la vie auprès de sa grand-mère qui, elle aussi, disparaît très tôt.

    Fort de cet héritage, il va alors se lancer dans l'existence, toujours soucieux de préserver son indépendance. De familles d'accueil en pensions, d'amitiés en amours, il va bourlinguer en France et à l'étranger, travailler et étudier jusqu'à devenir journaliste et un écrivain, auteur de bande dessinée française.

    De formation littéraire, publicitaire et politique, il se partage entre les métiers de la communication et l'écriture ; il est l'auteur de nombreux scénarios, documents et romans, dont Le Pré aux corbeaux, La Dame blanche, La Malédiction de Bellary.

    Aujourd'hui, il travaille sur plusieurs séries BD chez Glénat. Il est le scénariste de la série La Malédiction de Bellary dessinée par Guillaume Martinez, de la série Disparitions tirée de son roman L'Or des Maures, avec Pierre Wachs et Ersel, et de la série OIL avec Colak comme dessinateur.

    Convaincu qu'écrire n'est pas un métier, mais d'abord un plaisir, il continue à travailler dans le monde de l'entreprise... histoire de garder les pieds sur terre ! comme il le dit lui-même.

    Le pré aux corbeaux


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  •  C'est lundi que lisez-vous?

    Ce que j'ai lu la semaine dernière :                C'est lundi que lisez-vous?

     

    Ce que je lirai cette semaine :                          C'est lundi que lisez-vous?


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  • Je viens de terminer ce livre:

     

    Le lendemain elle était souriante...

     

     

    Résumé:

    Simone Signoret ne sait pas écrire. Du moins le croit-elle. Elle raconte sa douloureuse expérience de l’écriture, celle de La nostalgie n’est plus ce qu’elle était, dans un récit introspectif, sensible, tour à tour amer et exalté de sa vie de femme, d’actrice. Le personnage public s’efface, et derrière les anecdotes de tournage, les souvenirs de guerre, s’entend la voix unique d’une comédienne devenue écrivain.

     

    Le lendemain elle était souriante...

    Biographie :

    Nationalité : France
    Née à : Wiesbaden (Allemagne) , le 25/03/1921

    Morte à : Autheuil-Authouillet, Normandie , le 30/09/1985

    Simone Signoret, de son vrai nom Simone Kaminker, est la fille aînée d'André Kaminker (1888-1961), un Juif polonais traducteur et de son épouse française, née Signoret.

    Elle est arrivée dans le cinéma par l'entrée de service: pendant la guerre et, comme elle dit, "afin de ne pas crever de faim". Elle était sténo-dactylo, donnait des leçons d'anglais. Elle imagina faire de la figuration, ce qui ne rapportait pas bien gros non plus. Mais, la chance aidant, cela permettait au moins de manger à sa faim.

    Elle fut reconnaissante à Jean Boyer qui lui donna une petite chance dans Le Prince charmant, en 1942. Son premier vrai film, quatre ans après, fut Les Démons de l'aube. Réalisateur: Yves Allégret, son mari, père de sa fille Catherine.

    A partir de là, tout allait de mieux en mieux. Elle eut progressivement des rôles convenant à son tempérament dramatique. En 1951 vient Casque d'Or, son film symbole, son film préféré aussi avec le rôle d'Alice dans Les Chemins de Haute Ville.

    Le 4 avril 1960, elle obtient l'Oscar de la meilleure actrice pour son interprétation dans le film Les Chemins de la haute ville de Jack Clayton.

    Mais au delà de la Star, de la femme politiquement engagée, il y avait d'abord une amoureuse. Et sa carrière fut souvent influencée par ses hommes. Elle fut d'abord la femme d'Yves Allégret qui lui donna de très bons rôles durant la première phase de sa carrière.
    Mais sa rencontre en 1949 avec Yves Montand, l'homme de sa vie, est décisive pour le reste de son existence. Tous deux entreprennent un "compagnonnage" auprès du parti communiste français, vis à vis duquel ils deviendront de plus en plus critiques à partir de 1956, moment où l'Urss intervient en Hongrie.

    En 1976, elle publie son autobiographie : La nostalgie n'est plus ce qu'elle était.
    Au début des années 1980 sa santé commence à se dégrader sévèrement. Simone Signoret perd peu à peu la vue et mène une existence de plus en plus retirée. C'est alors qu'elle se consacre de plus en plus à l'écriture et elle élaborera son unique roman, qui paraît en 1985 : "Adieu Volodia".
    Victime d'un cancer du pancréas, elle s'éteint peu de temps après dans sa propriété d'Autheuil.

     


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