• Cette semaine j'ai reçu une ATC de Monique pour un échange "St Patrick"  organisé sur Facebook:   

     

    Voici celle que je lui ai envoyée: 

    Echange ATC: "St Patrick"

    "St Patrick" n°615


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  • "Si vous voulez aller sur la mer, sans aucun risque de chavirer, alors, n'achetez pas un bateau: achetez une île !" Marcel Pagnol

    Si vous voulez aller sur la mer, sans aucun risque de chavirer, alors, n'achetez pas un bateau : achetez une île !

    Je vous raconterai notre beau séjour à Rome, pour l'instant, je vais vous montrer le courrier récolté par Patricia pendant notre absence!

    Martine m'envoie ces cartes:

    Si vous voulez aller sur la mer, sans aucun risque de chavirer, alors, n'achetez pas un bateau : achetez une île !

    Françoise ces belles cartes:

    Si vous voulez aller sur la mer, sans aucun risque de chavirer, alors, n'achetez pas un bateau : achetez une île !

    avec une superbe carte brodée:

    Si vous voulez aller sur la mer, sans aucun risque de chavirer, alors, n'achetez pas un bateau : achetez une île !

    et une carte tortue:

    Si vous voulez aller sur la mer, sans aucun risque de chavirer, alors, n'achetez pas un bateau : achetez une île !

    merci Françoise, bisous!

    Françoise (Toutoune), m'envoie cette jolie petite tortue:

    Si vous voulez aller sur la mer, sans aucun risque de chavirer, alors, n'achetez pas un bateau : achetez une île !  

    Merci beaucoup, bisous!

    Une lettre de mon amie Emma d'Angleterre:

    Si vous voulez aller sur la mer, sans aucun risque de chavirer, alors, n'achetez pas un bateau : achetez une île !

    Jessica m'envoie cette belle ATC:

    Si vous voulez aller sur la mer, sans aucun risque de chavirer, alors, n'achetez pas un bateau : achetez une île !

    Monique, celle-ci:

    Si vous voulez aller sur la mer, sans aucun risque de chavirer, alors, n'achetez pas un bateau : achetez une île !

    Guy celle-là:

    Si vous voulez aller sur la mer, sans aucun risque de chavirer, alors, n'achetez pas un bateau : achetez une île !

    Eliane cette ATC:

    Si vous voulez aller sur la mer, sans aucun risque de chavirer, alors, n'achetez pas un bateau : achetez une île !

    Françoise cette ATC:

    Si vous voulez aller sur la mer, sans aucun risque de chavirer, alors, n'achetez pas un bateau : achetez une île !  

    Au courrier de ce matin, une lettre de mon amie Anita de Belgique:

    Si vous voulez aller sur la mer, sans aucun risque de chavirer, alors, n'achetez pas un bateau : achetez une île !

    et une belle ATC de Valérie:

    Si vous voulez aller sur la mer, sans aucun risque de chavirer, alors, n'achetez pas un bateau : achetez une île !

    Je reparlerai de ces échanges plus en détail merci à tous!

    Jeudi après avoir terminé nos sorties nous avons pris le métro pour la dernière fois, à la station Barberini, une jeune fille à poussé le groupe qui montait dans le métro, j'ai été bien bousculée, Ti-mari l'a bloquée un peu sur le côté pour lui faire comprendre qu'on n'était pas content, elle l'a poussé en criant en français avec un accent: "Laissez-moi sortir", elle est sortie en trombe avant la fermeture des portes, une amie l'attendait sur le quai! Arrivés à l'appartement un quart d'heure après, j'ai vu que mon sac était ouvert et que je n'avais plus mon porte-feuille, avec tous mes papiers, bien entendu! Donc direction la polizia, heureusement que je me débrouille en italien!

    Je portais mon sac en bandoulière devant moi,la poche était fermée et un rabat par dessus le sac! On m'a conseillé de porter le sac sous le manteau quand j'ai porté plainte!

    Résultat de recherche d'images pour "tortuga polizia"Depuis qq jours j'avais un oeil plein de sang, ça m'était déjà arrivé, Ti-mari a tenu à ce que nous passions à la pharmacie hier en sortant de la gendarmerie, le pharmacien n'a pas voulu me vendre de collyre mais m'a pris ma tension, après avoir lu le résultat on m'a conseillé de voir un médecin dans la soirée. Nous en sommes sortis à presque 20 h, 4 prises de tension : 4 fois 16.9, j'ai donc un traitement en attendant plus amples examens! Manquait plus que ça!

     

    Un peu plus de gaieté avec une petite sortie cet aprem, pendant que le linge sèche, c'est la fête du livre dans la galerie marchande de St Genis 2 et Quentin est invité avec tous les auteurs régionaux:

     

    Si vous voulez aller sur la mer, sans aucun risque de chavirer, alors, n'achetez pas un bateau : achetez une île !

     

    Si vous voulez aller sur la mer, sans aucun risque de chavirer, alors, n'achetez pas un bateau : achetez une île !

    • Une tortue mérite plus d'estime que certains réactionnaires conservateurs. Au moins elle march

      • Vous étiez 10 à désirer l'ATC la semaine dernière: Laurence, Sophie, Giboulée, Pikékol, Miss Parker, Françoise, Amélie, Mady, Scapinette, Marianne:

        Le plus souvent la bêtise est soeur de la méchanceté

        C'est Françoise qui a été tirée au sort, cette semaine je propose cette ATC textile:

        Si vous voulez aller sur la mer, sans aucun risque de chavirer, alors, n'achetez pas un bateau : achetez une île !

         

        Mon cadeau: ICI


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  • "La vraie amitié n’a pas besoin de mots pour venir en aide à l’autre" Alice Parizeau

    La vraie amitié n’a pas besoin de mots pour venir en aide à l’autre

     

    Juste un coucou rapide pour vous faire savoir que nous sommes rentrés

    La vraie amitié n’a pas besoin de mots pour venir en aide à l’autre

     

    Mon cadeau: ICI


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  • Je participe au challenge " Lire en thème" chez mon amie Cathy avec ce livre, il fallait choisir ce mois-ci :un livre dont "le titre contenait un prénom"

      Du 15 février au 15 mars:

    Le thème sera donc des livres contenant un prénom dans le titre…"

     

    lireenthemepetit

     

    J'ai choisi ce beau livre prêté par Patricia! 

     

     

    Résumé:

    En une seconde, la vie d'Emma vire au cauchemar. Les portes du métro se referment sur Ritchie, son fils de 13 mois, alors qu'elle reste sur le quai. Emma s'effondre. Heureusement, une femme dans la rame vient à sa rescousse et Emma retrouve son enfant à la station suivante. Mais le soulagement fait vite place à l'horreur car l'inconnue disparaît ensuite, emmenant Ritchie avec elle. Emma a beau appeler à l'aide, la police refuse de la croire. A-t-elle vraiment un enfant ? L'a-t-on réellement enlevé? Emma ne peut alors compter que sur elle-même pour tenter de retrouver son fils, quoi qu'il lui en coûte...  


      

    Biographie:

    Passionnée de littérature,elle dévore tous les livres qui lui tombent sous la main et a même tenté,à neuf ans,d'écrire un roman !Cette jeune Irlandaise trentenaire est médecin.C'est une fois son diplôme obtenu et tous ses stages de formation accomplis qu'elle se remet à l'écriture.Elle nous offre avec L'enfant d'Emma, son premier roman,une histoire forte qui explore la nature profonde de la maternité.son second roman, Entre de bonnes mains, paraît en 2012 chez le même éditeur.


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  • Je viens de terminer ce livre offert par Matthieu:

     

     

    Résumé:


    L'histoire se déroule aux alentours des années 1940 sur un bateau qui se dirige vers Buenos-Aires. Le narrateur apprend d'un ami qu'un homme du nom de Mirko Czentovic a embarqué en meme temps que lui. Ce nom, n'évoquant rien pour lui, il se fait conter l'histoire du personnage. Celui-ci depuis la mort de son père, batelier du Danube, a été recueilli par le curé du village. Cet enfant, obéissant mais totalement dépourvu d'imagination se découvre un jour un don pour les échecs. Entraîné d'abord dans son village, il devient rapidement imbattable, et remporte tous les prix, puis devient champion du monde. Czentovic, enivré par ses succès laisse paraître une attitude ridicule et prétentieuse.
    Très intéressé par le cas du champion, le narrateur décide de l'approcher, mais celui-ci est inaccessible. Finalement, un homme d'affaire écossais nommé Mac Connor réussit, en donnant de l'argent, à organiser une partie entre le maître et un petit groupe de joueurs du bateau. Czentovic, qui joue d'une manière désinvolte et méprisante, termine rapidement la partie. Une revanche est décidée sur le champ, et alors que les amateurs sont sur le point de perdre une seconde fois, un inconnu particulièrement doué arrive à obtenir le nul. Le narrateur demande alors à ce mystérieux personnage de refaire une partie, et celle-ci est prévue pour le lendemain.
    Le joueur inconnu: M. B, raconte alors son histoire, et les circonstances dans lesquelles il a apprit a jouer aux échecs. Ancien avocat à Vienne, il était chargé par la famille royale de veiller sur leurs biens. Mais alors que la guerre éclate, il est arrêté par les nazis qui veulent obtenir ses secrets. Sa torture n'est pas physique, mais morale. Il est enfermé dans une chambre d'hôtel, mais rien ne peut le divertir pendant ses journées. Un jour, il parvient à dérober un manuel d'échec, et se récite les parties des grands maîtres, puis apprend à jouer contre lui-même. Mais cet effort le fait devenir complètement fou, et il est interné. Son médecin l'ayant autorisé à sortir, il s'exile, mais son état mental est extrêmement fragile.
    Le jour de la partie contre Czentovic, il le bat facilement, sans avoir jamais joué contre un réel adversaire. Lors de la revanche, la lenteur délibérée du paysan l'exaspère, et il redevient comme lors de sa captivité. Heureusement, le narrateur parvient à le ramener à la raison, et la nouvelle se finit sur la reprise de conscience de M. B.

    Biographie:

    Stefan Zweig naît le 28 novembre 1881 à Vienne en Autriche.

    Fils d'un riche industriel ayant fait fortune dans le textile, il suit des études au Maximilan Gymnasium, un des meilleurs établissements viennois. C'est là qu'il découvre les écrits poétiques de Rilke pour lequel il ressent un véritable coup de foudre. L'aisance familiale permet à Stefan Zweig de s'adonner sans contraintes aux passions qui sont les siennes, à savoir la littérature, l'histoire et la philosophie. Vienne est alors une capitale cosmopolite qui ne peut que satisfaire l'appétit du jeune Zweig, curieux de tout et avide de découvertes culturelles.

    En 1900, il obtient l'équivalent du baccalauréat et, trop heureux de quitter ce lycée qu'il considérait comme une prison, il s'inscrit à la faculté de philosophie.

    Parallèlement, Zweig rédige divers poèmes, parmi lesquels "Bouton de rose" (1898), "Cordes d'argent"(1901) et "Les Guirlandes Précoces"(1907). Zweig ne cesse d'écrire de la poésie, il avance le chiffre de 400 poèmes dès l'année 1901, période qui correspond également à celle de la publication de sa première nouvelle "Im Schnee", dans le journal "Die Welt".

    En 1902, Stefan Zweig se rend à Paris et Bruxelles, où il fait la connaissance de Emile Verhaeren, qui devient son ami et son collaborateur. C'est également cette année-là que Zweig écrit une préface d'une quinzaine de pages pour l'édition de l'œuvre de Verlaine, chez Schuester und Loeffler.

    En 1903, Zweig manifeste le désir de s'affranchir du confort bourgeois de Vienne et décide de s'installer à Berlin, où il fait la connaissance de poètes maudits et mène la vie de Bohème, au milieu d'un univers de violence et de misère. Il lit avec ardeur Dostoïevski et passe son temps à contempler les œuvres de Munch.

    Après un séjour en Italie et un nouveau voyage à Paris, Stefan Zweig rentre à Vienne en 1904 pour défendre sa thèse sur Hippolyte Taine.

    Passionné de théâtre, Zweig se lance dans cette forme d'écriture et publie, entre autres, " Thersite"(1907) et "La Maison au bord de la mer"(1911).

    Stefan Zweig n'a de cesse de voyager. Il parcourt toute l'Europe, se lie d'amitié avec nombre d'écrivains, parcourt l'Inde, les Etats-Unis, le Canada et l'Amérique du Sud. Ces périples à l'étranger lui font découvrir de nombreux auteurs et rendent plus forte encore sa passion pour les lettres française qu'il souhaite faire connaître à l'extérieur.

    En 1914, la guerre constitue un bouleversement irréversible pour Stefan Zweig, qui voit s'effondrer toutes les valeurs humanistes auxquelles il accordait de l'importance.

    En 1919, Zweig s'installe à Salzbourg où il réside pendant quinze ans. Ses publications se suivent à un rythme régulier, tant dans le domaine de la littérature, que de la critique littéraire ou du théâtre. Sa bibliographie en témoigne.

    C'est en 1934 que Stefan Zweig part pour Londres afin d'y mener à sa guise les recherches pour un ouvrage consacré à Marie Stuart. L'invasion de son pays par Hitler et son annexion par l'Allemagne nazie le dissuadent de rentrer en Autriche.

    En 1940, Zweig obtient la nationalité britannique et épouse en secondes noces sa secrétaire Lotte Altmann (Zweig a divorcé de sa première femme, Friederike, en 1938). Le couple s'installe provisoirement à New York et le 15 août 1941, Zweig s'embarque pour le Brésil, où il travaille sur son autobiographie.

    La vie lui est devenue insupportable, le monde est noir et la seconde guerre mondiale achève définitivement tout espoir d'une société meilleure.

    Le 22 février 1942, Stefan Zweig rédige le message d'adieu suivant :

    "Avant de quitter la vie de ma propre volonté et avec ma lucidité, j'éprouve le besoin de remplir un dernier devoir : adresser de profonds remerciements au Brésil, ce merveilleux pays qui m'a procuré, ainsi qu'à mon travail, un repos si amical et si hospitalier. De jour en jour, j'ai appris à l'aimer davantage et nulle part ailleurs je n'aurais préféré édifier une nouvelle existence, maintenant que le monde de mon langage a disparu pour moi et que ma patrie spirituelle, l'Europe, s'est détruite elle-même.

    Mais à soixante ans passés il faudrait avoir des forces particulières pour recommencer sa vie de fond en comble. Et les miennes sont épuisées par les longues années d'errance. Aussi, je pense qu'il vaut mieux mettre fin à temps, et la tête haute, à une existence où le travail intellectuel a toujours été la joie la plus pure et la liberté individuelle le bien suprême de ce monde.

    Je salue tous mes amis. Puissent-ils voir encore l'aurore après la longue nuit ! Moi je suis trop impatient, je pars avant eux."

    Le lendemain, Stefan Zweig se donne la mort en avalant des médicaments.


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