• Voyages

    Ici je vous emmènerai avec moi en voyage.....

    Voyages

  • Hier j'ai reçu une belle carte de mon amie Françoise, j'ai voulu en savoir plus:

    La fosse de Dionne

    La fosse de Dionne

     

    Tonnerre apparaît à l’époque romaine sous le nom de Tornodurum, « forteresse » pour les Lingons ; elle est la capitale du Pagus tornodorensis. À Tonnerre, sur la vallée de l’Armançon, s’est créé le Comté de Tonnerre, qui a servi de point de passage entre Paris et Dijon, à l’époque où le roi de France avait des visées sur le duché de Bourgogne. Les étymologies de Tonnerre viendraient, pour l’époque celte, de Torn, dérivant de l'appellation d’une obscure divinité locale ; d’autres la rapportent à Douros : forteresse, ou encore une autre dénomination correspondrait-elle à Dour en liaison avec un « lieu près du torrent ». Il est possible que les trois solutions se rejoignent en une seule : soit un lieu divinisé : en 1782, furent mises au jour des cavités contenant armes et ornements, monnaies et bijoux liés au culte de divinités ; soit la forteresse dominant Tonnerre se serait située sur les lieux-dits « Mont Bellant » et « Vieux Châteaux », livrant de nombreux vestiges antiques ; quant à la « source divinisée », le vestige en est la fosse Dionne. 

     

    La fosse de Dionne

    La fosse de Dionne:

    La fosse Dionne est une source karstique dite source vauclusienne, située dans le centre-ville de Tonnerre. Elle est alimentée par les infiltrations des précipitations dans le plateau calcaire avoisinant ainsi que par les pertes d'au moins une rivière.

     

    La fosse de Dionne

    Une source vénérée depuis l'Antiquité

    Son nom même indique cette supposée origine divine : Dionne étant tiré de Divona, divinités gauloises des gouffres et des sources.

    Si les premiers habitants des lieux, Gaulois puis Romains, utilisent l’eau de la fosse, alors nommée Fons Divina, ils occupent d’abord le plateau qui surplombe la ville actuelle. Ce n’est qu’au Moyen Âge que se développe la ville basse autour de la Fosse Dionne, notamment avec de nombreux ateliers de tanneurs.

    Trois légendes pour un mystère

     

    Au cours des siècles, trois légendes circulent dans la ville autour de la création de la fosse.

     

    Les sous du Diable

     

    La fosse de Dionne

    Figuration du diable dans le Codex d'Iena

    La première, située en l’an 700, raconte qu’elle serait due au diable qui s’y serait précipité après avoir manqué de corrompre l’âme d’un enfant avec des pièces d'or semées sur la route.

    Ce dernier, ayant ramassé les sous du diable, n’obtient que des malheurs et mauvais présages en les dépensant. Il décide de les jeter dans une fontaine où elles tournoient en l’attirant inexorablement.

    Il est sauvé in extremis par l’évêque Pallade qui recouvre les pièces de son manteau bleu donnant ainsi sa couleur aux eaux de la source.

     

    Le diable, caché en embuscade et voyant sa cible lui échapper, se jette à son tour dans les eaux, entrainant le fond du bassin avec lui dans les abîmes des enfers.

    Le lavoir, encore visible autour de la fosse, a été bâti en 1758, par Louis d'Éon, maire de la ville de Tonnerre et père du célèbre chevalier d'Éon.

    Saint Jean de Réome et le Basilic

    La fosse de Dionne

    Représentation du Basilic dans le Bestiaire d'Aberdeen

    La dernière légende, écrite par le célèbre Grégoire de Tours, met en scène saint Jean de Réome.

    Alors qu’il s’établit à Tonnerre au VIe siècle, le saint homme apprend que la ville manque d’eau malgré la présence d’un puits, inutilisable car habité par un funeste Basilic qui empoisonne l’eau.

     

    Le saint décide de mettre un terme à cette malédiction et, en un coup de pioche, fait jaillir l’eau pure et conjure les mauvais pouvoirs du monstre qui rend l’âme sur le champ. Ainsi serait apparue la Fosse Dionne.

     

    Le mystère des sources de la Fosse Dionne

     

    De nos jours, la splendide arrivée d’eau, située en centre ville de Tonnerre, est toujours l’objet de mystères.
    Les premières tentatives d'exploration de cette source vauclusienne, remontent au XIXe siècle. En 1962, puis en 1996, plusieurs personnes y ont trouvé la mort. Malgré des avancées jusqu'à plus de 350 mètres de sa résurgence, l’ensemble de ses sources n’a pas encore pu être déterminé. Son débit oscille selon les saisons et les crues
    Le lavoir, créé par le père du chevalier d'Éon, est, quant à lui, classé monument historique depuis 1920 !

     

    La fosse de Dionne

    La fosse de Dionne

     

    Lire: ICI et ICI

     

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  • Lors de notre séjour à Paris chez Matthieu nous avons passé une journée au zoo de Vincennes. Nous avons pris le métro jusqu'à Porte Dorée, nous connaissions un restaurant sympa sur la place

    Au zoo de Vincennes

    Le secteur fut aménagé pour donner à voir une image de la France impériale qui ne se limitait pas aux frontières de la métropole. On y construisit le palais de la porte dorée qui abrita le musée des colonies — aujourd’hui musée de l'histoire de l'immigration — doté jusqu’en 2003 d’une collection ethnographique unique, ainsi qu’un aquarium tropical toujours ouvert au public et destiné à faire connaître la faune aquatique des colonies.

    Au zoo de Vincennes

    Au zoo de Vincennes

    Une statue de bronze doré, d’une dizaine de mètres de hauteur, fut également érigée. Elle représente la guerrière Athéna, avec une lance, dominant un bassin à plusieurs niveaux. Cette statue de Léon-Ernest Drivier représente: La France apportant la paix et la prospérité aux colonies. Après l'exposition, la statue a été placée sur la place Edouard-Renard.

    Au zoo de Vincennes

    Face au palais, le monument à la mission Marchand, c'est un monument de Paris, en France, commémorant la mission Congo-Nil menée par le commandant Jean-Baptiste Marchand. Il est également connu comme monument au commandant Marchand ou monument à Jean-Baptiste Marchand:

    Au zoo de Vincennes 

    Au zoo de Vincennes

    Nous arrivons au zoo: 

    Au zoo de Vincennes

    Le nouveau site, partagé en (Sahel-Soudan, Patagonie, Europe, Amazonie-Guyane et Madagascar), permet aux animaux d'évoluer dans de vastes enclos dont les paysages évoquent leurs milieux naturels d’origine.

    La volonté de faire découvrir des écosystèmes contrastés, le souci du bien-être des animaux et le respect des missions auxquelles souscrit le zoo ont présidé au choix des espèces représentées.  

    Au zoo de Vincennes

    Le zoo abrite : des espèces emblématiques (girafes, loups…), des espèces moins connues (gloutons, lamantins), des espèces menacées impliquées dans des programmes d’élevage européen (manchots de Humboldt, propithèques couronnés), des espèces impliquées dans des programmes internationaux de conservation (lémuriens, rhinocéros blancs).

    Au zoo de Vincennes

    Promenons-nous:

    Sortie au zoo de Vincennes

    Sortie au zoo de Vincennes

    Sortie au zoo de Vincennes

    Sortie au zoo de Vincennes

    Sortie au zoo de Vincennes

    Sortie au zoo de Vincennes

    Au zoo de Vincennes

    Sortie au zoo de Vincennes

    Sortie au zoo de Vincennes

    Sortie au zoo de Vincennes

    Sortie au zoo de Vincennes

    Sortie au zoo de Vincennes

    Sortie au zoo de Vincennes

    Sortie au zoo de Vincennes

    Sortie au zoo de Vincennes

    Sortie au zoo de Vincennes

    Sortie au zoo de Vincennes

    Sortie au zoo de Vincennes

    Sortie au zoo de Vincennes

    Au zoo de Vincennes

    Sortie au zoo de Vincennes

    Sortie au zoo de Vincennes

    Sortie au zoo de Vincennes

    Sortie au zoo de Vincennes

    Sortie au zoo de Vincennes

    Sortie au zoo de Vincennes

    Sortie au zoo de Vincennes

    Sortie au zoo de Vincennes

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    Sortie au zoo de Vincennes

    Sortie au zoo de Vincennes

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    Sortie au zoo de Vincennes

    Sortie au zoo de Vincennes

    Sortie au zoo de Vincennes

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    Au zoo de Vincennes

    Au zoo de Vincennes

    Au zoo de Vincennes

    Au zoo de Vincennes

    Au zoo de Vincennes

    Au zoo de Vincennes

    Au zoo de Vincennes

    Au zoo de Vincennes

    Au zoo de Vincennes

    Une bonne journée tous les trois!

    Photos prises par Matthieu et moi avec mon appareil!


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  • Il y a quelques années, nous étions passés à Port Vendres avec mes parents et Matthieu, nous avions aperçu l'obélisque mais pas trouvé de carte postale:

    Port Vendres

    Au centre de la place royale, Charles De Wailly a prévu d'ériger un obélisque en marbre rouge et blanc de Villefranche-de-Conflent (33 mètres de haut). Il était orné de bronze, bas-reliefs, rostres, tortues. La pointe de l'obélisque porte un globe terrestre surmonté de la fleur de lys. L'ensemble est dédié à la gloire du roi à la gloire du Roi Louis XVI. Les bas-reliefs commémoraient la Marine relevéela liberté du commercela servitude aboliel'indépendance de l'Amérique. La première pierre de l'obélisque est posée le 28 septembre 1780. Le devis définitif de l'obélisque n'a été donné que le 5 novembre 1781. Charles De Wailly a encore fait des modifications sur ses plans en 1782 et 1783.

    Mamounette n'a pas trouvé de carte postale mais m'a envoyé ces photos où l'on voit bien les tortues:

    Port Vendres

    Port Vendres

    Port Vendres

    Vous avez compris je recherche une carte postale de cet obélisque, je ferai un échange avec la personne qui me la procurera!

    Une carte même écrite!


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  • Je vous emmène visiter les Antilles avec nous: ICI

    Les Antilles


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  • Hier nous nous avons visité les serres du Parc de la Tête d'Or : ICI puis nous avons parcouru une partie des jardins extérieurs.

    Le jardin botanique

    Le jardin botanique

    Le jardin botanique

    Le jardin botanique

    Le jardin botanique

    Le jardin botanique

    Le jardin botanique

    Le jardin botanique

    Le jardin botanique

    Le jardin botanique

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    Le jardin botanique

    Le jardin botanique

    Le jardin botanique

    Le jardin botanique

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    Bernard de Jussieu, frère d'Antoine et de Joseph de Jussieu, commence ses études au collège jésuite de Lyon, puis les poursuit à Paris. Elles sont interrompues par l'invitation de son frère Antoine à venir herboriser à ses côtés lors de voyages naturalistes en Espagne et au Portugal.

    À son retour, en 1720, il passe le grade de docteur en médecine à Montpellier. Mais sa passion pour la botanique le conduit à abandonner l'exercice de la médecine. Il revient à Paris et, en 1722, prend le poste de professeur de botanique au Jardin du roi qu'a laissé vacant la mort de Sébastien Vaillant. Il reste à cette place toute sa vie et contribue à l'augmentation de l'herbier, souvent à ses frais. Sous sa direction, le droguier du Jardin prend une dimension considérable et en 1729 adopte le nom de cabinet d'Histoire naturelle ou « Cabinet du roi ».

    D'une grande modestie, il se contente de son poste au Jardin du roi et refuse même la charge de botaniste du roi, libre après la mort de son frère Antoine. Bernard de Jussieu ne publie que fort peu d'ouvrages. En 1725, il fait paraître une version augmentée de l'Histoire des plantes des environs de Paris de Tournefort et est admis la même année à l'Académie des sciences. En 1727, il devient membre de la Royal Society. En 1735, il publie anonymement le Catalogue des arbres, et arbrisseaux qui se peuvent élever en pleine terre aux environs de Paris ; ce catalogue dont on ne connaît qu'un petit nombre d'exemplaires offre la liste de plusieurs centaines d'arbres.

    Il explore les côtes de Normandie en 1742 et publie ses Mémoires, relatant son voyage et décrivant les espèces végétales, mais aussi animales qu'il y a rencontrées. C'est le premier à avoir séparé la baleine des poissons. En zoologie, il propose la création de familles, comme les vers ou les crustacés. En 1758, Louis XV lui confie la création d'une école de botanique dans les jardins de Trianon, dirigés par Claude Richard. Bernard ne suit pas pour cela la classification de Linné, mais développe un système nouveau, basé sur les caractères morphologiques des plantes. Il subdivise d'abord les espèces en monocotylédones et en dicotylédones, puis en familles regroupées suivant leurs affinités morphologiques.

    C'est ce système que reprend et affine son neveu Antoine-Laurent de Jussieu.

    Le jardin botanique

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    Nous ne sommes pas allés du côté de la roseraie, nous n'avons pas vu tous les animaux, nous y retournerons aussi faire un tour sur le lac.... le parc est immense (et gratuit)!

    Le jardin botanique

    Situé sur les berges du Rhône, en plein cœur de Lyon, ses 117 hectares, font du Parc de la Tête d'Or, le plus grand parc urbain de France. Totalement dédié aux loisirs, à la découverte et à la détente, ses espaces verts sont le théâtre de nombreuses activités: zoo, manèges, boutiques, spectacles, balades en poneys, jardin botanique... Tout est réuni pour faire de votre visite un moment magique. 

    Le jardin botanique


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