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Le week-end, un thème, un tableau
Fardoise nous dit :
En mémoire de Lady Marianne... Elle a fait de ce challenge ce qu'il est aujourd'hui et nous le poursuivrons sous l'intitulé :
"Le week-end, un thème, un tableau"
Chaque week-end nous publions un tableau sur un thème donné pour deux semaines, une manière ludique de découvrir la peinture, et de partager,
nous disons pourquoi il nous touche,
et quelques mots sur l'artiste.
Lilou nous dit:
"Comme je prends la main pour le mois d’octobre et que c’est OCTOBRE ROSE je vous propose la couleur
le Rose dans tous ses états
c’est large et vous trouverez bien des pépites.
Avec le sourire"J'ai choisi cette oeuvre de Yayoi Kusama:
Plasticienne japonaise:
Née dans une famille prospère et conservatrice, Yayoi Kusama vit ses premières années dans un pays en guerre. À 10 ans, elle souffre d’hallucinations. Elle se met à dessiner pour combattre un sentiment de désintégration devant la prolifération d’un univers invisible et sa peur d’y être engloutie. Dès le début, elle place ainsi sa maladie mentale au cœur de son processus de création. Elle suit les cours de l’école municipale des arts de Kyoto et s’initie à la peinture Nihonga. Dans les années 1950, elle explore des formes plus abstraites, appréciées aussi bien par les cercles artistiques que psychiatriques japonais. Les motifs de ses dessins d’enfant (fleur, cosmos, cœur) sont répétés en réseau uniforme infini. Douze ans plus tard, elle s’installe à New York et étudie à la Arts Students League. Elle réalise alors la série Infinity Net (« Réseau infini »), dont les compositions de plus en plus grandes, exposées pour la première fois à la Brata Gallery en 1959, semblent engloutir le public dans un réseau de lignes et de pois. Ce travail lui vaut d’être classée par la critique Lucy Lippard dans le mouvement de l’Eccentric Abstraction, qui se caractérise par un refus du minimalisme strict et l’inclusion des émotions, de la sensualité, par l’utilisation de matières synthétiques aux formes organiques et aux résonances sexuelles.
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Commentaires
Je n'aurais jamais pensé à elle, je la croyais enfermée dans le jaune. Un choix audacieux comme l’œuvre de cette plasiticienne.
Cette artiste a des obsessions , toutes récurrentes, forcément , et ça me gêne.
Je comprends qu'elle soit appréciée mais moi, ça m'angoisse.
Bises de pathos rose
Des oeuvres qui surprennent mais quand on lit son parcours on comprend mieux ...Une découverte étonnante: merci de ce partage et bon week end par chez toi ... sous le brouillard chez les ch'tis. Nicole
7MarydomSamedi 26 Octobre à 12:49Halalala elle fait peur avec son regard si fixe et son air pas aimable , j aime pas trop de TiffanyCoucou Martine ! Un joli tableau pour finir cet Octobre rose et j'ai découvert cet artiste .
Bises bon weekend !
Une interprétation originale du thème. Je t'embrasseDes oeuvres tres révélatrices de ce qu'elle traverse . Une découverte pour moi .
Bon dimanche
Bises
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Belle découverte Martine, et très flashy cette première œuvre !
Sur la seconde, le personnage est résigné à être prisonnier de ces tentacules !
Bises et bon samedi - Zaza
https://zazarambette.fr
Le second est le portrait du peintre!
Bisous