• Tous les lundis donc, c'est fixé. J'ai rendez-vous avec Marie-Hélène, Manika, avec vous toutes. On se retrouve autour d'une chanson, d'une photo, d'un texte, d'un souvenir, d'un dessin autour d'un sujet fixé et dévoilé à l'avance!

      

    Le 6 septembre:  Rentrée littéraire : vos envies lecture, un conseil, un.e auteur.e attendu.e ?

     
    Pour cette rentrée je lirai volontiers:

    Les lundis à deux et plus

    « Il ne faut pas sous-estimer la rage de survivre. »

    Sous la forme d’un conte, Amélie Nothomb raconte la vie de Patrick, son père, doux enfant angélique qui, jeune adulte, devra se confronter à la mort.
    Un magnifique hommage à la figure paternelle mais aussi à un héros de l’ombre, diplomate à la carrière hors norme.

    Les lundis à deux et plus

    Les lundis à deux et plus

     
    Elle arrive de New York, il vient de Cuba, ils s’aiment. Il lui montre une photo de groupe prise en 1989 dans le jardin de sa mère et elle y reconnaît la sienne, cette femme mystérieuse qui ne parle jamais de son passé. Ils vont chercher à comprendre le mystère de cette présence et les secrets enfouis de leurs parents…

    Leonardo Padura nous parle de Cuba et de sa génération, celle qui a été malmenée par l’histoire jusqu’à sa dispersion dans l’exil : « Poussière dans le vent. »
    Nous suivons le Clan, un groupe d’amis soudés depuis la fin du lycée et sur lequel vont passer les transformations du monde et leurs conséquences sur la vie à Cuba. Des grandes espérances des nouveaux diplômés devenus médecins, ingénieurs, jusqu’aux pénuries de la « période spéciale » des années 90, après la chute du bloc soviétique (où le salaire d’une chercheuse représente le prix en dollars d’une course en taxi) et la fuite dans l’exil à travers le monde.

    Des personnages magnifiques, subtils, nuancés et attachants, soumis au suspense permanent qu’est la vie à Cuba et aux péripéties universelles des amitiés, des amours et des mensonges. Ils vont survivre à l’exil, à Miami, Barcelone, New York, Madrid, Porto Rico, Buenos Aires. Ils vont prendre de nouveaux départs, témoigner de la force de la vie.

    Leonardo Padura écrit un roman universel. Il utilise la forme classique du roman choral mais la sublime par son inventivité et son sens aigu du suspense, qui nous tient en haleine jusqu’au dernier chapitre.
    Ce très grand roman, qui place son auteur au rang des plus grands romanciers actuels, est une affirmation de la force de l’amitié et des liens solides et invisibles de l’amour.
    Les lundis à deux et plus

    Les lundis à deux et plus

    C'était en janvier 2003. Dans notre boîte aux lettres, au milieu des traditionnelles cartes de vœux, se trouvait une carte postale étrange. Elle n’était pas signée, l’auteur avait voulu rester anonyme.
    L’Opéra Garnier d’un côté, et de l’autre, les prénoms des grands-parents de ma mère, de sa tante et son oncle, morts à Auschwitz en 1942.
    Vingt ans plus tard, j’ai décidé de savoir qui nous avait envoyé cette carte postale. J’ai mené l’enquête, avec l’aide de ma mère. En explorant toutes les hypothèses qui s’ouvraient à moi. Avec l’aide d’un détective privé, d’un criminologue, j’ai interrogé les habitants du village où ma famille a été arrêtée, j’ai remué ciel et terre. Et j’y suis arrivée.
    Cette enquête m’a menée cent ans en arrière. J’ai retracé le destin romanesque des Rabinovitch, leur fuite de Russie, leur voyage en Lettonie puis en Palestine. Et enfin, leur arrivée à Paris, avec la guerre et son désastre.
    J’ai essayé de comprendre comment ma grand-mère Myriam fut la seule qui échappa à la déportation. Et éclaircir les mystères qui entouraient ses deux mariages. J’ai dû m’imprégner de l’histoire de mes ancêtres, comme je l’avais fait avec ma sœur Claire pour mon livre précédent, Gabriële.
    Ce livre est à la fois une enquête, le roman de mes ancêtres, et une quête initiatique sur la signification du mot « juif » dans une vie laïque.
     

    Les lundis à deux et plus

     


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  • Le jeu des parallèles, c'est un cliché photo face à une œuvre d'art, c'est une idée de Mulot.b qui nous rassemble le premier week-end du mois.

    Je choisis cette vue d'Auxerre:

    Summertime 

    et ce tableau de Monique Guimard : 

    Summertime


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  • Le Clic Clac , c'est une photo publiée le vendredi pourvu qu'elle soit rigolote, insolite, amusante, poétique, anodine...Si vous êtes tentés de me rejoindre, donnez-moi l'adresse de votre article je vous listerai sous mon "Clic Clac" du jour afin qu'il soit vu par le plus grand nombre. 

    blog (3).jpg

    Pour ce Clic Clac , notre rosier jurassien:

    Clic clac chez tOrtue

     

    Roseline sans blog nous dit: "Rosier sauvage vu lors de mes ballades": 

    Clic clac chez tOrtue

     

    Rose est la première à me suivre: ICI

    Covix nous suit: ICI

    Giboulée nous suit: ICI

    Edith nous suit: ICI

    Kreichaline nous suit: ICI

    Lilou nous suit: ICI

    Denise nous suit: ICI

    Fardoise nous suit: ICI

    Jazzy nous suit: ICI


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  • Mamitta plante des arbres et collectionne toutes vos photos vous les verrez: ICI

    Pour ma part je vous emmène au Parc Dupeyroux de Créteil, saurez-vous repérer la perruche?

    Auprès de mon arbre


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  • COVIX reprend le défi "Scènes de rues" : ICI

    Scènes de rue.

     

    Je vous emmène à Arinthod, Jura: 

    Scènes de rue

    Au cœur de la Petite Montagne, le bourg d’Arinthod possède une place triangulaire bordée d’arcades et ornée d’une fontaine datant de 1750


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