• Je viens de terminer ce livre emprunté à la bibli: 

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    Résumé:

    Contre toute attente, Bastien voit sa vie bouleversée par l'irruption du jeune Lucas qui l'entraîne dans une course-poursuite effrénée à travers le Dauphiné. Un suspense haletant et finement mené.
    Lorsque l'amie de Bastien le quitte, celui-ci se réfugie chez sa tante, dans un petit village de l'Isère, fermement décidé à ne plus se soucier de rien ni de personne. Mais un soir, rompant son désir de solitude, un gamin, Lucas, fait irruption dans sa vie et lui raconte une bien étrange histoire. L'enfant s'est enfui de la maison voisine où sa mère est restée prisonnière d'un homme de main de son beau-père. Il possède un carnet suffisamment compromettant pour dénoncer ce truand notoire, mais refuse de faire intervenir la police. Bastien, peu à peu, se laisse convaincre et séduire par ce petit garçon désarmant de faiblesse et de force mêlées. Commence alors une course-poursuite implacable à travers le Dauphiné, où l'homme et l'enfant, devenus alliés, vont affronter un ennemi dangereux et sournois... jusqu'à l'impossible issue.
     
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    Biographie:
     
    Brigitte Varel est l'une des rares romancières françaises à s'être fait une spécialité du genre, le suspense. Profitant d'un repos forcé, elle écrit pour le plaisir un premier roman qui rencontre un vrai succès. Forte de cette heureuse expérience, elle récidive avec Un village pourtant si tranquille, Les Yeux de Manon, Emma, L'Enfant traqué (prix de l'Oisans 2000), Le Chemin de Jean et L'Enfant du Trièves et Le Déshonneur d'un père qui témoignent tous de ces ambiances troubles et inquiétantes que la jeune romancière affectionne. Ses sujets de prédilection : les enfants, dont la maturité la fascine, les coïncidences qui n'en sont pas et le paranormal. Brigitte Varel place ses personnages dans ce Trièves où elle a grandi. Situé en Dauphiné, ce pays verdoyant, que le monde moderne semble avoir oublié, est déjà teinté de couleurs provençales. Il est l'âme et le coeur de cette romancière pleine de talent.

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  • Une nouvelle semaine qui commence, c’est l’occasion de faire un petit point lecture…
    Ce rendez-vous du "c’est lundi" se déroule chez 
    Galléane pour parler de nos lectures passées, en cours et à venir

     

     Ce que j'ai lu la semaine passée: C'est lundi que lisez-vous?  

            

     

    Ce que je suis en train de lire: C'est lundi que lisez-vou?

     

     

    Ce que je lirai cette semaine? C'est lundi que lisez-vou?  


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  • Je viens de terminer ce livre emprunté à la bibli:

     

    Résumé :

    Veuve depuis peu, Yvonne, prof d’histoire, la cinquantaine, accepte l’invitation de ses enfants à une croisière en Méditerranée sur la côte turque. Avant de retrouver les siens, elle a décidé de séjourner une semaine seule à Datça, où elle avait passé sa lune de miel vingt-huit ans auparavant, pour se replonger dans le souvenir des jours heureux. Ces souvenirs la perturbent plus qu’ils ne lui apportent de réconfort, et son séjour, avec son cortège de rencontres insolites, ne se déroule pas vraiment comme prévu. Il n’y a guère qu’avec Ahmet, petit pêcheur de coquillages qui ne parle pas un mot d’anglais, qu’Yvonne parvient à oublier ses soucis. Jusqu’à ce qu’un tragique accident vienne semer le chaos dans sa vie. Avec un sens étonnant de l’écriture et une formidable intuition dans la construction de ses personnages, Vendela Vida parvient à cerner la force et la fragilité des liens qui unissent les couples et les familles.

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    Biographie :

    Nationalité : États-Unis
    Née à : San Francisco , le 06 /09/1971  Vendela Vida a grandi en Californie.

    Elle est rédactrice en chef du magazine littéraire The Believer et participe, avec son mari Dave Eggers, au renouveau littéraire né il y a quelques années à San Francisco qui assume le romanesque tout en y insufflant fantaisie, sens du décalage et humour.

    Après Sans gravité, publié à l'Olivier en 2005, Soleil de minuit est son second roman.

    Elle a publié un essai, Girls on the Verge, issu de ses travaux de recherche sur les rites d'initiation chez les jeunes filles américaines.

    Elle est co-scénariste avec Dave Eggers de Away We Go, film de Sam Mendes, sorti en 2009.
    En 2011, elle publie "Se souvenir des jours heureux" chez Albin Michel.

     


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  • Une nouvelle semaine qui commence, c’est l’occasion de faire un petit point lecture…
    Ce rendez-vous du "c’est lundi" se déroule chez 
    Galléane pour parler de nos lectures passées, en cours et à venir

     

     Ce que j'ai lu la semaine passée:   

          C'est lundi que lisez-vous? C'est lundi que lisez-vous? C'est lundi que lisez-vous?

     

     

    Ce que je suis en train de lire:     C'est lundi que lisez-vous?

     

     

    Ce que je lirai cette semaine?   C'est lundi que lisez-vous?


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  • Je viens de terminer ce livre:

    D'après une histoire vraie

     

    Résumé:

    "D'après une histoire vraie" démarre sur l'histoire d'une narratrice très semblable à l'auteure. Comme Delphine de Vigan, celle qui dit "je" a écrit un livre devenu best-seller sur sa mère bipolaire, qui s'est suicidée ("Rien ne s'oppose à la nuit"). Signature, salons littéraires, et invitations multiples l'ont littéralement vidée, jusqu'au jour où elle ne peut même plus accorder un autographe supplémentaire à une lectrice arrivée un peu tard pour une dédicace.
    A cette fatigue et ce début de dépression s'ajoutent des lettres anonymes menaçantes, l'accusant d'avoir bâti sa célébrité sur la mort de sa mère. La blessure de trop. La narratrice n'arrive plus à écrire. Inspiration tarie, malgré les petits carnets qu'elle remplit sur une star de la téléréalité devenue prisonnière de son image, son idée de départ pour un futur roman.
    L'héroïne du roman rencontre alors "L." qui ne sera jamais désignée que par cette initiale. C'est un coup de foudre amical. Cette femme la comprend mieux que personne. Et devient d'autant plus indispensable que les deux grands enfants de la narratrice partent faire leurs études ailleurs. Ses amis vivent en province, et son compagnon, François, avec lequel elle ne vit pas, est très -trop ? - absorbé par ses émissions littéraires.
    "L" (elle ?) prend soin d'elle jusqu'à la décharger de ses mails et y répondre à sa place -pour lui rendre service, bien sûr. Pour son bien encore, "L" la pousse à bout pour faire jaillir d'elle la seule littérature qui vaille : celle de la réalité crue. C'est d'ailleurs son métier : rédiger, sans jamais apparaître, les autobiographies d'actrices célèbres ou les témoignages de femmes martyrisées. Jusqu'où ira "L", installée à demeure chez la romancière ? Est-elle venue combler un vide ou faire le vide ? Lui redonner du souffle ou lui voler sa vie ?
    Une fois commencé, le roman ne se lâche plus tant la tension monte. La narratrice retrouvera-t-elle sa plume ? Et son autonomie dans ce face à face infernal avec cette "amie" qui la suit comme son ombre, s'habille comme elle, et éloigne tout son entourage qu'elle refuse d'ailleurs de rencontrer ? 
    Ce roman angoissant est parsemé de petites pierres blanches, d'indices autobiographiques vérifiables sur Internet. Le lecteur un brin voyeur pourra ainsi s'assurer sur Wikipédia que Delphine de Vigan a bien pour compagnon un journaliste animant des émissions littéraires (François  Busnel, qui présente La Grande librairie sur France 5).
    Mais peu importe ce qui ressort ou non de la réalité dans cette fiction placée à chaque partie sous les auspices d'une citation de Stephen King : ce pavé manipulateur ne se réduit pas à une autobiographie saignante. Thriller psychologique, il se dévore tout du long des 480 pages tant le récit y est habile, le chantage au réel assumé et la construction magistrale. Un roman hitchcockien des plus maîtrisés, jusqu'au malicieux clin d'oeil final.

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    Biographie:

    La romancière Delphine de Vigan est née le 1er mars 1966 à Boulogne Billancourt. Après une formation au Centre d’Etudes Littéraires et Scientifiques Appliquées, elle devient directrice d’études dans un institut de sondages. Sous le pseudonyme Lou Delvig, elle écrit son premier roman, d’inspiration autobiographique : Jours sans faim (2001), qui raconte le combat d’une jeune femme contre l’anorexie. Un recueil de nouvelles et un second roman suivront en 2005, publiés sous vrai nom. En Août 2008, Delphine de Vigan se distingue avec No et moi ; ce roman, qui aborde le thème de la tolérance, recevra le Prix des libraires, le Prix du Rotary et sera adapté au cinéma par Zabou Breitman. Dans Les heures souterraines, publié l’année suivante et nominé au Goncourt, elle dénonce le harcèlement moral dans le monde du travail. En 2011 parait Rien ne s’oppose à la nuit, qui sera lui aussi en lice pour le Goncourt. Ce roman, qui raconte les souffrances de sa mère atteinte de trouble bipolaire, est très largement salué par la critique et obtient le Prix du roman Fnac, le Prix des lectrices de Elle, le Prix France Télévisions et le Prix Renaudot des lycéens.Cette même année, elle co-signe avec Gilles Legrand, le scénario du film Tu seras mon fils. En 2013, Delphine de Vigan réalise son premier film, A coups sûr, (sortie en janvier 2014), dont elle cosigne -avec Chris Esquerre-, le scénario.

    D'après une histoire vraie

    J'ai eu la chance de rencontrer Delphine de Vigan que j'aime beaucoup, elle m'a dédicacé son livre! J'ai également assisté à la première de son film en sa présence! Une belle rencontre!


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