• Une nouvelle semaine qui commence, c’est l’occasion de faire un petit point lecture…
    Ce rendez-vous du "c’est lundi" se déroule chez 
    Galléane pour parler de nos lectures passées, en cours et à venir

     Ce que j'ai lu la semaine passée:               

     

     

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  • Je viens de terminer ce livre offert par Violette:

     Résumé:

    Comment le renouvellement d'un passeport permet d'avoir un point de vue totalement différent et finalement drôle de la vraie vie à Téhéran aujourd'hui. Voilà ce que nous offre le récit de Nahal Tajadod à partir d'une histoire authentique qui lui est arrivée en avril 2005. Pour obtenir le précieux document toute la folie, la générosité, l'humour d'un peuple pourtant sous une lourde emprise politique, apparaît dans une galerie de portraits plus surréalistes les uns que les autres. Deux photographes spécialistes de portraits islamiques lui présentent un médecin légiste qui troque des organes? Des femmes en noir attendent assises dans la rue l'ouverture des administrations? une maquerelle qui veut envoyer des filles à Dubaï? une grand-mère qui offre une poule vivante à un militaire implacable? un chauffeur qui s'indigne que l'on refuse « la bombe » à l'Iran alors que les Indiens et les Pakistanais - qui pourtant ont la peau plus foncée - la possèdent? un technicien qui cache une parabole TV dans une marmite d'offrandes religieuses... un autocuiseur qui mérite une bénédiction? Une énumération qui a la fantaisie et la générosité désordonnée des souks orientaux où le rituel du târof qui consiste à d'abord refuser tout paiement - est infiniment plus vivant et précieux que la loi du talion, ou Hâfez côtoie Balzac avec un même appétit de vivre.Voilà l'Iran que nous fait découvrir Nahal Tajadod avec espièglerie et humour, et surtout avec l'immense tendresse d'une femme qui aime passionnément son pays et qui refuse l'image qu'on offre de lui.
     
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    Biographie:

    Nahal Tajadod est née à Téhéran le 25 février 1960, d’une famille d’intellectuels iraniens ; sa mère, Mahin Djahanbeiglou Tajadod, d’origine kurde, enseignait les langues iraniennes préislamiques à l’université de Téhéran, elle a également écrit des pièces de théâtre et travaillé avec Peter Brook ; son père, fils d’ayatollah, a participé à la Révolution constitutionnelle de 1906, il fut député de l’Assemblée nationale au début du pouvoir de Rezâ Shâh. Républicain, il enleva le turban en 1936, et adopta les vêtements occidentaux et choisit comme patronyme Tajadod, qui signifie « modernité » en persan. Son grand-père, homme politique, a connu Lawrence d’Arabie et a couronné le premier roi d’Irak, Fayçal. Son arrière-grand-père était « source d’imitation », au sommet de la hiérarchie chiite.

    Une famille d’érudits, donc, et francophone – ils passaient toutes leurs vacances en France – et après le lycée français, c’est tout naturellement que Nahal Tajadod, âgée alors de 17 ans, vient étudier à Paris. Une installation renforcée par la Révolution de 1979, la confiscation de tous les biens de la famille et l’exil des proches. Elle s’inscrit aux Langues O. pour étudier le chinois « Grâce à la Route de la soie, les idées et philosophies qui ont atteint la Chine du Moyen Age se sont imprégnées de la culture iranienne, les premiers traducteurs de textes bouddhistes en chinois étaient d’ailleurs iraniens. Je me suis ainsi tournée vers cet Orient alors même qu’aujourd’hui, l’Iran continue de regarder vers l’Occident ». Nahal Tajadod est titulaire d’un doctorat de chinois, elle est l’auteur d’une thèse sur « Mani, le Bouddha de lumière », dans laquelle elle commente un texte manichéen écrit en chinois. Elle poursuit ses recherches sur les interactions religieuses entre l’Iran et la Chine ancienne, qui feront l’objet de plusieurs ouvrages. Chercheuse brillante et subtile, spécialiste du poète perse Rûmi, éprise de soufisme et de poésie, elle s’est peu à peu dirigée vers la littérature – en français, pour le plus grand bonheur de ses lecteurs.

    De son écriture romanesque, Nahal Tajadod dit pratiquer « un tissage de fils de plusieurs couleurs. On peut suivre un des fils pour le trouver emmêlé ailleurs. Je n’y pense pas vraiment en commençant à écrire, le tissage vient naturellement et se fait par des images. Pour décrire un personnage, il faut que je le voie faire des choses ordinaires, que je puisse l’aimer… J’injecte l’historique après. La vie de mes personnages ne peut être séparée de l’histoire. »

    Elle est l’épouse de Jean-Claude Carrière fasciné lui aussi par le monde oriental.


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  • Je viens de terminer ce livre: 

    Jours sans faim

     

    Résumé :

    "Cela s'était fait progressivement. Pour en arriver là. Sans qu'elle s'en rende vraiment compte. Sans qu'elle puisse aller contre. Elle se souvient du regard des gens, de la peur dans leurs yeux.

    Elle se souvient de ce sentiment de puissance qui repoussait toujours plus loin les limites du jeûne et de la souffrance. Les genoux qui se cognent, des journées entières sans s'asseoir.

    En manque, le corps vole au-dessus des trottoirs. Plus tard, les chutes dans la rue, dans le métro, et l'insomnie qui accompagne la faim qu'on ne sait plus reconnaître.

    Et puis le froid est entré en elle, inimaginable. Ce froid qui lui disait qu'elle était arrivée au bout et qu'il fallait choisir entre vivre et mourir."
     

     

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    Biographie:

    La romancière Delphine de Vigan est née le 1er mars 1966 à Boulogne Billancourt. Après une formation au Centre d’Etudes Littéraires et Scientifiques Appliquées, elle devient directrice d’études dans un institut de sondages. Sous le pseudonyme Lou Delvig, elle écrit son premier roman, d’inspiration autobiographique : Jours sans faim (2001), qui raconte le combat d’une jeune femme contre l’anorexie. Un recueil de nouvelles et un second roman suivront en 2005, publiés sous vrai nom. En Août 2008, Delphine de Vigan se distingue avec No et moi ; ce roman, qui aborde le thème de la tolérance, recevra le Prix des libraires, le Prix du Rotary et sera adapté au cinéma par Zabou Breitman. Dans Les heures souterraines, publié l’année suivante et nominé au Goncourt, elle dénonce le harcèlement moral dans le monde du travail. En 2011 parait Rien ne s’oppose à la nuit, qui sera lui aussi en lice pour le Goncourt. Ce roman, qui raconte les souffrances de sa mère atteinte de trouble bipolaire, est très largement salué par la critique et obtient le Prix du roman Fnac, le Prix des lectrices de Elle, le Prix France Télévisions et le Prix Renaudot des lycéens.Cette même année, elle co-signe avec Gilles Legrand, le scénario du film Tu seras mon fils. En 2013, Delphine de Vigan réalise son premier film, A coups sûr, (sortie en janvier 2014), dont elle cosigne -avec Chris Esquerre-, le scénario.

    D'après une histoire vraie

    J'ai eu la chance de rencontrer Delphine de Vigan que j'aime beaucoup, elle m'a dédicacé son livre! J'ai également assisté à la première de son film en sa présence! Une belle rencontre!


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