• À la découverte de la magie, de l'histoire et des légendes d'Hawaii's Honu

    C'est un spectacle extraordinaire de voir la tête d'une tortue verte hawaïenne percer la surface vitreuse de l'océan. Après que le honu ait pris une bonne respiration profonde, sa tête glisse sous la surface, souvent pour jeter un coup d'œil à nouveau pour une gorgée d'air de plus avant que la tortue ne plonge profondément sous la surface. Certains restent au sol pendant des heures, le temps sous-marin le plus long enregistré étant d'environ cinq heures. Étant donné combien de temps les honu peuvent se maintenir sous l'eau en quelques respirations, les voir au-dessus de la surface est l'un de ces sites que vous n'oublierez pas de sitôt.

    Cependant, si vous vous promenez sur les bonnes plages d'Hawaï, vous pourriez aussi avoir la chance d'apercevoir quelques honu se prélassant sous le chaud soleil tropical, les yeux fermés alors qu'ils se reposent dans le sable. Que vous en aperceviez un naviguant gracieusement sur l'eau ou dormant paisiblement sur terre, il y a quelque chose de mystique dans le honu d'Hawaï qui enchante les visiteurs et les résidents.

    Avec la tortue imbriquée, les tortues vertes, ou honu , sont deux des espèces de tortues les plus courantes que vous verrez dans les eaux proches des îles hawaïennes. Concentrons-nous sur honu et examinons de plus près l'un des rares reptiles indigènes restants à Hawaï aujourd'hui.

    Honu en chiffres

    Tout d'abord, commençons à connaître le honu avec quelques faits et chiffres :

    • Durée de vie : 60-80 ans
    • Taille des poumons : environ les deux tiers de la longueur de leur carapace (c'est pourquoi ils peuvent rester sous l'eau aussi longtemps !)
    • Poids typique : 200 à 500 livres
    • Nombre d'oeufs pondus par la femelle honu pendant la saison de nidification : Environ 100v
    • Temps typique d'éclosion d'un œuf de tortue marine : 60 jours
    • Pourcentage de temps qu'un honu passe dans l'eau : ~90 %

    Faits amusants:

    • En tant que bébés, les honu mangent une variété d'aliments, y compris des plantes et des crustacés. Cependant, à l'âge adulte, ils mangent principalement des algues.
    • On estime que 90% des honu d'Hawaï nichent dans les French Frigate Shoals, un atoll situé dans le coin nord-ouest de la chaîne d'îles hawaïennes, à environ 436 miles de Kauai. Le récif de l'atoll présente une grande variété d'espèces de coraux et d'algues, et il offre également un lieu de nidification sûr pour le honu , loin de toute interférence humaine.
    • Les tortues sont protégées par la loi de l'État d'Hawaï, qui interdit de blesser, de blesser, de tuer ou de déranger les tortues marines. En conséquence, le ministère des Terres et des Ressources naturelles vous suggère de garder une zone tampon de 6 à 10 pieds entre vous et les tortues que vous apercevez.
    • De plus, le honu est répertorié comme «menacé» et protégé en vertu de la loi sur les espèces en voie de disparition. Bien qu'elle ait été proche de l'extinction à un moment donné, la population honu continue de rebondir.
    • Qu'est-ce qui a causé la quasi-extinction du honu ? Pour répondre à cette question, nous devrons revenir sur l'histoire de la tortue verte hawaïenne.

    Un peu d' histoire Honu 

    On estime que les honu existent en tant qu'espèce depuis environ 40 à 50 millions d'années. Ils ont évolué à peu près au même moment que les premières chauves-souris, rats, baleines et autres mammifères.

    Les anciens Hawaïens récoltaient les tortues, mangeaient la viande, utilisaient les os pour les hameçons et gardaient les carapaces pour les récipients. Honu était également représenté dans des pétroglyphes, faisant allusion à leur importance pour les anciens Hawaïens. En fait, les honu étaient considérés comme la propriété des alii, les chefs hawaïens. Honu était protégé par des restrictions kapu, le système de tabous qui régissait l'ancien peuple hawaïen, en vertu duquel sa population était soigneusement réglementée.

    Cependant, lorsque le système kapu a été levé en 1918, le honu est devenu un jeu équitable pour les Hawaïens et les Occidentaux. La viande de tortue est devenue un mets très prisé et le nombre d'honu a rapidement diminué en réponse à la demande. Aujourd'hui, avec les protections en place, la population continue de croître, mais elle reste toujours sur la liste des espèces menacées afin de poursuivre la tendance à la hausse.

    Le Honu dans la culture hawaïenne

    En plus d'être protégé par les restrictions du kapu, le honu occupait une position suffisamment importante dans la culture hawaïenne pour qu'il soit mentionné, avec le honuea (la tortue imbriquée), dans le Kumulipo, le chant de la création hawaïenne.

    Certaines familles considèrent également la tortue de mer verte hawaïenne comme un aumakua, qui est une sorte de divinité ancestrale. Dans la culture hawaïenne traditionnelle, on croit que les esprits des ancêtres restent autour pour protéger et réconforter leurs familles. Dans le cadre de leurs fonctions, ils peuvent prendre possession d'un être vivant, tel qu'un honu .

    Pour mieux comprendre le concept, imaginez un scénario dans lequel vous êtes en canoë, et vous êtes pris dans un courant qui vous empêche de rentrer. Peut-être qu'un honu apparaît à vos côtés et, en suivant son chemin, vous pouvoir regagner le rivage en toute sécurité. Si vous croyez en l'aumakua, vous pourriez être enclin à penser que l'esprit de votre grand-père, qui vous a appris à faire du canoë, a pris la forme de cet honu pour vous guider vers la sécurité. La prochaine fois que vous verrez une tortue, vous ressentirez probablement une sorte de révérence et le désir de protéger cet honu . Cette histoire vous donne une idée du concept d'un aumakua en action, ainsi que de la façon dont le honu peut être perçu par certains dans les îles hawaïennes.

    La légende hawaïenne attribue également à une famille de tortues de mer la création de l'étang d'eau douce de Punalu'u sur la grande île. Selon la légende, une tortue de mer nommée Honupookea est sortie de l'océan pour donner naissance à un œuf spécial qui ressemblait à un morceau de bois de kauila. Elle a enterré l'œuf dans le sable pour l'éclosion, et avant de retourner dans l'océan, elle et sa compagne, Honuea , ont creusé un étang d'eau douce juste à côté de leur nid. Lorsque Kauila a éclos, elle vivait au fond de l'étang d'eau douce, veillant sur les enfants qui jouaient sur ses rives et bénissant les gens avec l'eau potable fraîche de l'étang.

    Que vous considériez honu comme une divinité protectrice, un doux bienfaiteur ou simplement une créature spectaculaire avec qui partager les mers, il est facile de comprendre pourquoi le honu a conquis tant de cœurs à Hawaï.

    Vous voulez avoir un aperçu de votre Honu ?

    Bien qu'il existe de nombreux endroits à Hawaï pour voir honu - et vous aurez peut-être la chance d'en rencontrer un en faisant de la plongée avec tuba ou en plongée - il y a quelques endroits qui vous offrent une meilleure chance que d'autres. Nous avons répertorié nos favoris ci-dessous.

    N'oubliez pas de garder vos distances pour que ces gentils géants puissent profiter de leur repos :

    • Oahu – Faites une halte à Laniakea Beach sur la rive nord de l'île.
    • Maui – Dirigez-vous vers Hookipa Beach, juste après Paia sur Hana Highway.
    • Kauai – Rendez-vous sur la rive sud, Brennecke's Beach en particulier.
    • Big Island – Dirigez-vous vers Punaluu pour profiter de honu , la plage de sable noir et le légendaire étang d'eau douce, le tout au même endroit.

    Honu n'est qu'un début

    Si l'idée de partager une île avec honu vous coupe le souffle, ce n'est qu'une des raisons qui font d'Hawaï un endroit magique où vivre. En plus de voir ces anciens marins, l'île regorge de merveilles naturelles, y compris ces sept espèces fascinantes et ces oiseaux hawaïens indigènes, pour vous enchanter pendant de nombreuses années.

    À la découverte de la magie, de l'histoire et des légendes d'Hawaii's Honu


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  • Une étude démontre que certains animaux ne sont pas sujets à la dégradation biologique progressive, ce qui ne signifie pas qu’ils sont immortels pour autant.

     

    De nombreuses espèces à sang froid ne vieillissent quasiment pas

    Les animaux dotés d'attribut de protection physique, comme la carapace pour les tortues ou la présence de toxiques sur certains amphibiens, vivent plus longtemps que ceux qui n'en ont pas.

    Être une tortue, secret d’une éternelle jeunesse? Le faible vieillissement observé chez des espèces à sang froid remet en cause, selon deux études publiées jeudi, l’idée selon laquelle la dégradation biologique progressive, qui mène à la mort des animaux, est inévitable.

    Au-delà de quelques cas particuliers -- comme la tortue «Jonathan», 190 ans --, la question n’avait pas été étudiée aussi largement, a expliqué à l’AFP David Miller, coauteur de l’un des deux articles, publiés dans la prestigieuse revue «Science».

      

    Des chercheurs «s’étaient davantage penchés sur un travail de comparaison, vraiment complet, avec les oiseaux et les animaux dans la nature», raconte le chercheur en écologie de l’université Penn State, aux États-Unis. «Mais ce que nous savions sur les amphibiens et les reptiles venaient d’une espèce ici, d’une autre là…» Pour son travail, David Miller a rassemblé des données de travaux de terrain de long terme comprenant 107 populations de 77 espèces sauvages, dont des tortues, des amphibiens, des serpents et des crocodiliens.

     

    Sénescence

    Ces études, en identifiant puis suivant des individus sur plusieurs années, permettent d’estimer, avec des probabilités, la mortalité de la population donnée. Ils ont également collecté des données sur la durée de vie des animaux après la maturité sexuelle et, avec des méthodes statistiques, déterminé les rythmes de vieillissement -- ou sénescence -- ainsi que la longévité, c’est-à-dire ici l’âge au bout duquel 95% de la population est déjà morte.

    «Nous avons trouvé des exemples de vieillissement minime», a poursuivi Beth Reinke, biologiste à l’université Northeastern aux États-Unis, et l’une des principales auteures de l’étude. S’ils s’attendaient à cela pour les tortues, des conclusions similaires sont apparues pour une espèce dans chaque groupe d’animaux à sang froid, dont celui des grenouilles et des crocodiles.

    «Un vieillissement ou sénescence minime ne veut pas dire qu’ils sont immortels», a précisé la chercheuse: ils ont une chance de mourir, mais cette probabilité n’augmente pas avec l’âge. À l’inverse, chez les femmes américaines par exemple, le risque de mourir dans l’année à 10 ans est d’un sur 2500, contre un sur 25 à 80 ans.

     

    Température plutôt que métabolisme

    L’étude a été financée par les Instituts américains pour la santé (NIH), qui cherchent à mieux connaître le vieillissement des organismes ectothermes, souvent identifiés par abus de langage comme organismes «à sang froid», pour une application sur les humains, eux endothermes.

    Les scientifiques ont longtemps estimé que les ectothermes vieillissaient moins rapidement en raison de leur dépendance à l’environnement pour réguler leur température, ce qui réduit leur métabolisme, à l’inverse des endothermes, qui produisent leur propre chaleur et ont un métabolisme plus important. Ce lien demeure juste pour les mammifères: les souris ont un métabolisme plus rapide que les humains, et une espérance de vie plus courte

      

      

    Mais selon cette nouvelle étude, et à l’inverse de ce que l’on pensait jusque-là, le rythme du métabolisme n’est pas le premier facteur de la sénescence. D’autres résultats permettent de dessiner des pistes alternatives, qui restent à étudier. En observant la température moyenne d’une espèce, et non son métabolisme, les auteurs ont découvert que les espèces de reptiles les plus chaudes vieillissaient plus rapidement que les autres, alors que l’inverse s’appliquait aux amphibiens.

     

    Bénéfices humains

    Les animaux dotés d’attribut de protection physique, comme la carapace pour les tortues ou la présence de toxiques sur certains amphibiens, vivent plus longtemps que ceux qui n’en ont pas, ajoute la publication. «Cela permet aux animaux de vivre plus longtemps, et à l’évolution de fonctionner de manière à réduire le vieillissement pour que, s’ils évitent effectivement de se faire manger, ils fonctionnent toujours bien», a expliqué David Miller.

    La seconde étude publiée jeudi, menée par une équipe de l’Université du Sud du Danemark et d’autres laboratoires, présente les résultats tirés d’une méthode similaire appliquée à 52 espèces de tortues, terrestres et marines, dans des populations de zoos. Parmi ces espèces, 75% ont montré un vieillissement minime, ont conclu les scientifiques.

    «Si certaines espèces parviennent vraiment à échapper au vieillissement, et des études dédiées parviennent à en comprendre les mécanismes, la santé et la longévité des humains pourrait en bénéficier», écrivent les chercheurs Steven Austad et Caleb Finch dans un commentaire de leur publication.

     

    Ils notent cependant que si certaines espèces ont un taux de mortalité qui n’augmente pas avec les années, ils accumulent des blessures liées à l’âge. Jonathan, la tortue âgée de 190 ans, «est désormais aveugle, a perdu son odorat et doit être nourrie à la main», expliquent les scientifiques.

    De nombreuses espèces à sang froid ne vieillissent quasiment pas


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  • Des archéologues ont découvert à Pompéi (Italie) les restes d'une tortue enceinte, morte avant l'éruption du Vésuve qui a détruit la cité antique en l'an 79.

    Une tortue et son œuf découverts dans les ruines de Pompéi

    Des archéologues ont découvert à Pompéi (Italie) les restes d'une tortue enceinte, morte avant l'éruption du Vésuve qui a détruit la cité antique en l'an 79.
    Ce reptile de 14 cm de long fournit de nouveaux indices sur les dernières années de la ville, qui était en phase de reconstruction après un tremblement de terre en 62 après JC.

    Une tortue et son œuf découverts dans les ruines de Pompéi

    La tortue s'est installée après un tremblement de terre

    La femelle enceinte, de l'espèce Testudo hermanni, semble s'être installée dans un magasin en ruines et inutilisé pour y pondre son œuf, mais elle est morte avant la ponte.

    « L'intrusion de l'animal n'a pas été remarquée par les responsables de la rénovation du magasin, et ses restes ont été recouverts », a indiqué vendredi le site archéologique dans un communiqué.

    Durant la reconstruction de la ville, « certains espaces étaient si peu utilisés que des animaux sauvages pouvaient s'y déplacer, y entrer et y chercher un endroit pour pondre », a expliqué le directeur général de Pompéi, Gabriel Zuchtriegel. 

    Une tortue et son œuf découverts dans les ruines de Pompéi

    Les sédiments ont permis la conservation

    La tortue a été découverte près des thermes stabiens, agrandis après le tremblement de terre.

    L'éruption du Vésuve, il y a près de 2 000 ans, a dévasté la cité antique, l'ensevelissant sous des cendres volcaniques. Ces sédiments ont permis de préserver de nombreux bâtiments presque dans leur état d'origine, ainsi que les corps des victimes du Vésuve.

     

    Pompéi est la deuxième destination touristique la plus visitée d'Italie après le Colisée de Rome.

     

    Par La rédaction avec AFP 


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  • Une petite tortue un peu spéciale a été découverte dans une forêt dense du centre de l'Inde. C'est le premier individu albinos de l'espèce Lissemys punctata, appelée aussi trionix à clapet, observé dans cette région - d'autres ont été autrefois décrits dans la région du Maharashtra ou du Kerala. Le reptile mesure 4 centimètres de long et 3 centimètres de large pour un poids de 2,5 grammes. Il présente une peau claire et les yeux rouges, deux caractéristiques typiques des animaux albinos.

    L'albinisme est dû à une mutation génétique qui bloque la production de mélanine, le pigment responsable de la couleur de peau, des cheveux et des yeux. Dans la nature, l'albinisme est associé avec des chances de survie plus faibles. Habituellement, les trionix à clapet sont de couleur marron pour mieux se camoufler dans la forêt et dans les étangs d'eau douce dans lesquels ils se nourrissent.

    Étrangeté du vivant : cette tortue découverte en Inde est unique en son genre

    La tortue albinos Lissemys punctata observée en Inde. © Manoj Kumar Vittapu, Reptiles and Amphibians 

    Étrangeté du vivant : cette tortue découverte en Inde est unique en son genre

     

     

    Julie Kern

    Rédactrice scientifique

    Publié le 20/06/2022

    Étrangeté du vivant : cette tortue découverte en Inde est unique en son genre


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  • Jeudi 9 juin, la mairie de Carcans a alerté la population de la présence sur son territoire de cette espèce invasive qui prolifère en Gironde et peut s'avérer parfois dangereuse.

    La tortue serpentine, cet animal féroce à la mâchoire coupante qui colonise la Gironde

    La mairie de Carcans (Gironde) met en alerte sur la présence de tortues serpentines, près du littoral girondin. (©Illustration / Flickr / Éric Bégin)

    Ce jeudi 9 juin, sur les réseaux sociaux, la mairie de Carcans a publié une alerte pour prévenir la population de la présence de tortues serpentines aux abords de la route de Maubuisson, principalement au niveau du cours d’eau Lambrusse.

    « S’agissant d’une espèce redoutable, agressive et pouvant occasionner de graves blessures, n’intervenez pas vous-même ! », prévient la municipalité sur sa page Facebook.

    Un spécimen avait été capturé près du canal du Midi

    En effet, cet animal endémique d’Amérique du nord a été introduit en France par le biais du e-commerce ou par les transports classiques (avions, bateaux, etc.) et prolifère dans certains départements de l’Hexagone, notamment la Gironde ou encore la Haute-Garonne. Un spécimen de 25 centimètres a été prélevé près du canal du Midi, en mai 2020.

    « La puissance de sa mâchoire est redoutable »

    « Cette espèce s’est parfaitement adaptée à notre climat et région et elle se reproduit puisque des jeunes tortues serpentines ont été vues en Gironde. J’en ai capturée une jeune en 2021 dans un bassin à poissons, dans le centre-ville de Carcans. Elle mangeait des poissons rouges ainsi que oiseaux puisque des cadavres remontaient à la surface », précise Jean-Claude Pomies, ancien inspecteur de l’environnement en Gironde.

    Lorsque j'ai été alerté, j'ai immédiatement compris à qu'elle espèce nous avions à faire. La tortue serpentine est essentiellement carnivore, c'est un prédateur redoutable qui s'attaque à notre faune locale (batraciens, reptiles dont la cistude inoffensive, etc.). La puissance de sa mâchoire est redoutable.

    Jean-Claude Pomies

    Ancien inspecteur de l'environnement en Gironde

    La mairie de Carcans conseille d’ailleurs aux gens qui croiseraient une tortue serpentine d’avertir immédiatement ce spécialiste.

     

    En effet, cet animal aquatique se montre peu et passe la majorité de son temps dans l’eau douce (mare, lac, cours d’eau) mais « devient féroce quand on le dérange et peut infliger des blessures graves avec sa mâchoire, coupante comme un rasoir », peut-on lire sur l’encyclopédie Wikipédia.

    La tortue serpentine, cet animal féroce à la mâchoire coupante qui colonise la Gironde


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