• La tortue âgée de 344 ans, connue sous le nom d’Alagba dans le palais du Soun d’Ogbomoso, au Nigeria est morte.

    À l’âge de 344 ans – Mort de la tortue ‘Alagba’ , le plus vieil animal terrestre de la planète

    C’était un animal très aimé de la population locale et aussi des nombreux visiteurs qui venaient régulièrement en pèlerinage pour observer de près la grande et vieille tortue. Alagba était considérée comme « sacrée » et avec des pouvoirs de guérison, c’est pourquoi on venait lui rendre visite de partout dans le monde.

    À l’âge de 344 ans, malheureusement, la vieille tortue nous a quittés à cause d’une maladie qui a duré quelques jours. Il est assez rare qu’une tortue de son espèce atteigne un âge aussi avancé, étant donné qu’elle vit en moyenne 150 ans. Alagba vivait dans le palais du chef traditionnel, Oba Oladunni Oyewumi, et a été amené ici il y a plus de 3 siècles par le troisième chef local, Isan Okumoyede. C’est du moins ce que rapportent les aînés.

    Le plus vieil animal terrestre de la planète s’en est donc allé, mais son corps sera conservé dans le palais, afin qu’il puisse continuer à être vénéré et visité quotidiennement par les pèlerins.

    À l’âge de 344 ans – Mort de la tortue ‘Alagba’ , le plus vieil animal terrestre de la planète


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  • Évolution : les oreilles de tortue peuvent être plus grandes à l'intérieur

    Une analyse de la forme de l'oreille interne des tortues et de son lien avec la locomotion est présentée dans un article publié dans Nature CommunicationsLes résultats peuvent aider notre compréhension de l'évolution des vertébrés. L'oreille interne, ou labyrinthe osseux, détecte le mouvement et l'orientation et sa forme et sa taille ont été utilisées pour déduire l'agilité chez les animaux disparus. Les tortues ont évolué sur 230 millions d'années et les espèces vivantes et éteintes ont une gamme de comportements locomoteurs et d'adaptations écologiques, cependant, on sait peu de choses sur l'évolution du labyrinthe osseux des tortues. Serjoscha Evers et ses collègues ont examiné 163 spécimens de tortues, représentant 90 espèces vivantes et 53 espèces éteintes, y compris des tortues molles, des tortues terrestres et des tortues caouannes, qui ont une variété de comportements locomoteurs. Il s'agit notamment de creuser des terriers, de marcher sur le sol, de marcher sous l'eau et de nager pour naviguer dans les habitats terrestres, d'eau douce et marins. Les auteurs ont découvert que les tortues ont de grandes oreilles internes par rapport à la taille de leur tête et suggèrent que cela a pu évoluer au cours de leur adaptation aux habitats aquatiques. Ils indiquent également que les tortues ont une taille de labyrinthe osseux relativement grande par rapport aux autres vertébrés et suggèrent que la taille de l'oreille interne n'est peut-être pas aussi fortement liée à l'agilité qu'on le pensait auparavant, mais peut plutôt être liée à l'acuité visuelle des tortues. Les auteurs concluent que leurs découvertes suggèrent qu'il existe une plus grande diversité dans la forme et la taille du labyrinthe osseux qu'on ne le pensait auparavant et que des recherches supplémentaires sont nécessaires dans les groupes de tétrapodes et les poissons sous-étudiés pour explorer l'évolution du labyrinthe. Ils indiquent également que les tortues ont une taille de labyrinthe osseux relativement grande par rapport aux autres vertébrés et suggèrent que la taille de l'oreille interne n'est peut-être pas aussi fortement liée à l'agilité qu'on le pensait auparavant, mais peut plutôt être liée à l'acuité visuelle des tortues. Les auteurs concluent que leurs découvertes suggèrent qu'il existe une plus grande diversité dans la forme et la taille du labyrinthe osseux qu'on ne le pensait auparavant et que des recherches supplémentaires sont nécessaires dans les groupes de tétrapodes et les poissons sous-étudiés pour explorer l'évolution du labyrinthe. Ils indiquent également que les tortues ont une taille de labyrinthe osseux relativement grande par rapport aux autres vertébrés et suggèrent que la taille de l'oreille interne n'est peut-être pas aussi fortement liée à l'agilité qu'on le pensait auparavant, mais peut plutôt être liée à l'acuité visuelle des tortues. Les auteurs concluent que leurs découvertes suggèrent qu'il existe une plus grande diversité dans la forme et la taille du labyrinthe osseux qu'on ne le pensait auparavant et que des recherches supplémentaires sont nécessaires dans les groupes de tétrapodes et les poissons sous-étudiés pour explorer l'évolution du labyrinthe.

    Évolution : les oreilles de tortue peuvent être plus grandes à l'intérieur

     


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  • Éclosion et départ en mer d'une quarantaine de bébés tortues caouanne à Valras-Plage

    Il s'agit d'un évènement hautement inhabituel mais qui réchauffe le coeur : plusieurs œufs de tortue marine, espèce rarement observée sur le littoral français, ont éclos sur une plage près de Béziers, dans l'Hérault, comme le montre une vidéo publiée par Midi Libre: ICI

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les œufs ont finalement éclos mercredi 7 septembre, peu après 20 heures. Protégées par plusieurs installations posées par les pompiers et des bénévoles, une quarantaine de tortillons ont rejoint la mer, tandis que plusieurs autres œufs peuvent éclore à tout moment.Ce n'est que le début d'un chemin qui n'a rien d'un long fleuve tranquille pour ces petites tortues, car malheureusement, seulement 

    un tortillon sur mille arrive à l'âge adulte 
    et les chances sont faibles que l'une d'elles revienne dans 30 ou 40 ans pondre sur la plage où elle est née.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Des petits tortillons ont éclos sur une plage de l'HéraultÉclosion et départ en mer d'une quarantaine de bébés tortues caouanne à Valras-Plage

     


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  • Janus, le célèbre reptile bicéphale du Muséum d’histoire naturelle de Genève, va fêter ses 25 ans. L’occasion d’une journée spéciale, ce samedi.

    Record de longévité pour la tortue à deux têtes du Muséum

     

    Janus, très rare tortue bicéphale, va atteindre les 25 ans, un âge avancé pour un spécimen né avec une telle anomalie.

    MHNG

    Quart de siècle en grande pompe pour Janus, la tortue bicéphale que les visiteurs du Muséum d’histoire naturelle de la Ville de Genève (MHNG) connaissent bien. L’institution va organiser samedi 3 septembre son 25e anniversaire. Un record absolu de longévité pour un tel animal, note le MHNG.

     

    Pas protégée par sa carapace

    Le reptile, prénommé ainsi d’après le dieu romain aux deux visages, est né dans une couveuse du Muséum en 1997. Sa naissance avait été une «immense surprise» pour la personne chargée de l’animalerie, à qui des œufs avaient été confiés pour éclosion. En effet, une telle anomalie du développement ne permet en général pas aux spécimens de se développer correctement, relate le MHNG, «ne serait-ce qu’au stade embryonnaire»: «Il n’y en a donc que très peu qui atteignent l’éclosion.» Et ceux qui naissent ne survivent pas très longtemps dans la nature: ils ne peuvent pas cacher leurs deux têtes, ainsi que leurs pattes, dans leur carapace pour se mettre à l’abri des prédateurs, à l’image de leurs congénères, explique le Muséum. En somme, Janus n’aurait pas survécu longtemps autrement qu’en captivité.

     

    Bains, massages, promenades

    Depuis sa naissance, cette tortue, confiée au MHNG par ses propriétaires, fait l’objet de soins particuliers: terrarium adapté à sa pathologie, nourriture optimisée, bains, massages ou encore promenades. Malgré sa dernière opération pour un calcul urinaire, comme la «Tribune de Genève» s’en faisait l’écho samedi, «Janus se porte aujourd’hui à merveille», indique le Muséum. A l’occasion de son quart de siècle, le public pourra, entre autres, discuter avec les soigneuses de Janus, assister à ses soins, ou prendre un selfie.

    Record de longévité pour la tortue à deux têtes du Muséum


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  • Le parquet équatorien a annoncé lundi enquêter sur une chasse présumée de tortues géantes dans les îles Galápagos, un écosystème fragile inscrit au patrimoine mondial de l’humanité.

    Enquête sur une chasse présumée de tortues géantes aux Galápagos

    Un spécimen de tortue géante Chelonoidis donfaustoi, espèce redécouverte aux Galapagos en 2015. - Photo d'illustration AFP 

    Le ministère public enquête sur «des soupçons de chasse et de massacre de quatre tortues géantes dans le complexe des zones humides du Parc national des Galápagos», a indiqué le bureau du procureur sur Twitter.

    L’unité équatorienne spécialisée dans les crimes contre l’environnement et la nature (Uidmen) a été chargée de recueillir les témoignages des agents du parc national et de désigner des experts pour procéder aux nécropsies des tortues.

    La direction du parc a porté plainte pour la mort des animaux, a précisé le ministère de l’Environnement sur son canal WhatsApp.

    Ces quatre tortues géantes, dont l’espèce n’a pas été précisée par le ministère, auraient été chassées dans les zones humides de l’île Isabela, située à 1000 km des côtes de l’Équateur dans l’océan Pacifique.

    Prison

    La chasse aux animaux sauvages est passible d’une peine pouvant atteindre trois ans de prison en Équateur.

    En 2019, un homme qui avait percuté une tortue et endommagé sa carapace a été condamné à une amende de 11’000 dollars. La même année, un autre conducteur a dû débourser plus de 15’000 dollars pour avoir écrasé et tué un iguane endémique des Galápagos.

    Avec une superficie de 4703 km2, l’île Isabela est la plus grande de l’archipel dont elle constitue 60% des terres émergées.

    L’archipel des Galápagos («tortues» en espagnol) est considéré comme une réserve de biosphère pour sa faune et sa flore uniques au monde. Il abritait autrefois 15 espèces de tortues, dont trois se sont éteintes il y a plusieurs siècles, selon le Parc national des Galápagos.

    En 2019, une tortue de l’espèce Chelonoidis phantastica a été découverte sur l’île, plus de cent ans après son extinction supposée.

    (AFP)

    Enquête sur une chasse présumée de tortues géantes aux Galápagos 


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