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"Les fruits que porte une âme juste ne se gâtent jamais." Ménandre
Aujourd'hui c'est l'anniversaire de Monique de Bretagne:
Ce matin, à 7 h 30, 10°, encore plus de brouillard qu'hier:
Tranquille notre petit coin de Jura?
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Tous les lundis donc, c'est fixé. J'ai rendez-vous avec Zaza, Alice avec vous toutes. On se retrouve autour d'une chanson, d'une photo, d'un texte, d'un souvenir, d'un dessin autour d'un sujet fixé et dévoilé à l'avance!
Le 20 mai :: Fête des mères dimanche prochain, on peut en profiter pour lancer des idées .Que font vos enfants ? Gâtez vous votre mère ?
Pour la première fois je ne fêterai pas maman qui est décédée avant Noël, je penserai très fort à elle cette année!
Nos trois enfants: Patricia, Eric et Matthieu ne m'oublient jamais!
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Une nouvelle semaine qui commence, c’est l’occasion de faire un petit point lecture…
Ce rendez-vous du "c’est lundi" se déroule chez Camille pour parler de nos lectures passées, en cours et à venir
Ce que j'ai lu la semaine dernière:
Ce que je suis en train de lire:
Ce que je lirai cette semaine:
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"Les lois sont des toiles d'araignées à travers lesquelles passent les grosses mouches et où restent les petites." François de La Rochefoucauld
Ce matin à 8 h, pluie et brouillard:
Le brouillard se lève mais la pluie tombe.... papa est venu manger à midi, il m'avait prévenue, pas de mousse au chocolat, il a une prise de sang demain matin! Du coup je n'ai pas fait de dessert, il a mangé des noix que j'avais ramassées en octobre:
Hier soir j'ai avancé une broderie:
et tricoté un peu:
Petites éclaircies par moments, on ne peut rien entreprendre dehors!
Nous sommes allés passer un bon moment avec papa en fin d'aprem!
Mon cadeau: ICI
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A jour d' ATC, j'ai décidé de broder ce petit modèle repéré depuis longtemps:
" La tortue et les deux canards" n°1927
La Tortue et les deux Canards
Une Tortue était, à la tête légère,
Qui, lasse de son trou, voulut voir le pays,
Volontiers on fait cas d'une terre étrangère :
Volontiers gens boiteux haïssent le logis.
Deux Canards à qui la commère
Communiqua ce beau dessein,
Lui dirent qu'ils avaient de quoi la satisfaire :
Voyez-vous ce large chemin ?
Nous vous voiturerons, par l'air, en Amérique,
Vous verrez mainte République,
Maint Royaume, maint peuple, et vous profiterez
Des différentes moeurs que vous remarquerez.
Ulysse en fit autant. On ne s'attendait guère
De voir Ulysse en cette affaire.
La Tortue écouta la proposition.
Marché fait, les oiseaux forgent une machine
Pour transporter la pèlerine.
Dans la gueule en travers on lui passe un bâton.
Serrez bien, dirent-ils ; gardez de lâcher prise.
Puis chaque Canard prend ce bâton par un bout.
La Tortue enlevée on s'étonne partout
De voir aller en cette guise
L'animal lent et sa maison,
Justement au milieu de l'un et l'autre Oison.
Miracle, criait-on. Venez voir dans les nues
Passer la Reine des Tortues.
- La Reine. Vraiment oui. Je la suis en effet ;
Ne vous en moquez point. Elle eût beaucoup mieux fait
De passer son chemin sans dire aucune chose ;
Car lâchant le bâton en desserrant les dents,
Elle tombe, elle crève aux pieds des regardants.
Son indiscrétion de sa perte fut cause.
Imprudence, babil, et sotte vanité,
Et vaine curiosité,
Ont ensemble étroit parentage.
Ce sont enfants tous d'un lignage.Jean de La Fontaine 1621 - 1695
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